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Zeige Album

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Höji Sulegg

Sortie du 20 février à Hoji Sulegg

 Après la tempête Eunice qui met l'Europe en alerte, la fine équipe n'est pas intimidé et c'est avec un jour de retard que le rendez-vous est donné. C’est donc à 7h, que deux voitures partent direction Wilderswil. Là, triste constat, on notera que la pause-café n'y est pas une tradition et donc sans tisane de caféine la route continue direction Isenfluh . De là, une charmante petite cabine, authentique dans son fonctionnement, nous amène à Sulwald. Peaux et skis aux pieds, c'est avec un sourire et lunette de soleil, que la course débute. Le chemin sillonne à travers la forêt avec des bouts plus raides que d'autres pour finalement arriver à la Lobhörnerhütte. La vue qui s'ouvre à nous est pharamineuse et juste époustouflante avec les trois sommets en face, Eiger, Mönch et Jungfrau.



Après le photo shooting de ces trois modèles, suit la dernière étape au Hoji Sulegg. Une montée plutôt technique, conversion après conversion, ces dernières se compliquent dû à la neige soufflée et les couteaux sont servis pour faciliter l'ascension. Sur les derniers mètres, la grimpette devient à nouveau un jeu d'enfant et nous permet de s'imprégner du spectacle qui se dessine autour de nous. Arrivés sur la crête, un panorama de 360 degrés s'ouvre à nous … un WOUAAAAH n’en est que le diminutif ; on y voit le lac de Thoune, lac de Brienz,  Schilthorn, Lobhörner,



Pour le dîner, le groupe descend quelque peu pour s'abriter du vent mais, sans succès car le sandwich, à peu de chose près, n'a pas pris son envol.



Après cette courte pause gastronomique, la course se poursuit. Entre les rochers qui nous entourent, nous plongeons dans une ambiance du far ouest, un bonheur pour tout le monde. 



C’est la descente par la piste de luge avec une neige printanière qui marque la fin de la course et d'une merveilleuse journée en bonne compagnie. Merci Patrice!  


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Le Curtillet

Samedi 26 février 2022.

Sortie « Le Curtillet » planifiée par notre chef de course Claude.



Au carrefour à Berne, involontairement 😊 la voiture est partie sur la voie de gauche direction l’Oberland.



Le p’tit café nous a été servi au restaurant « Hirschen les Milles Feuilles » à Oey.



La voiture nous emmène dans le Diemtigtal au lieu-dit Fildrich où les 5 participants s’équipent pour la randonnée du jour.



L’approche se fait en suivant la vallée, par pente douce pour la mise en jambe, mais par un froid prononcé car le soleil est encore partiellement caché par le brouillard matinal.



Après avoir traversé la petite rivière, suivi d’un passage quelque peu délicat sur quelques mètres et environs 30 min de montée, nous apercevons les différents sommets devenant ensoleillés et magnifiques avec un enneigement paraissant idéal.



Tout en évoluant en altitude, nous découvrons une neige variable, tantôt dure, tantôt fraiche et soufflée car nous traversons une zone relativement perturbée par un fort vent bien frais. Par ces conditions variables, nous favorisons la sécurité en mettant les couteaux.



Après environs 4 heures et quelques 1200m D+, un dernier couloir ensoleillé et sans vent, nous atteignons le sommet du Männiflüe à 2652m.



Pour mon tout premier sommet, j’ai été accompagné par Chantal, Muriel, Claude et André avec un petit coucou à Nadia qui n’a pas pu nous accompagner.



Anecdote du jour : attention, la portière de la voiture à Claude laisse des traces.



Précision : le Männiflue était bel et bien planifié par Claude en remplacement du Curtillet trop peu enneigé.



Nous avons passé une très belle journée et merci à tous pour la compagnie.



Wilfred.


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Bundstock

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Autour de Nendaz, avancés

3 au 6 mars : Prévue dès le jeudi midi, l’activité débuta déjà le jeudi matin, initiée par les deux premiers participants arrivés avec un jour d’avance. Quand on aime, on ne compte pas.

Le jeudi nous verra donc partir en direction du col des Louèrettes à 2'912 m depuis Siviez. Le manque de neige, sur la fin, nous obligea à réduire l’allure et à mettre les couteaux, indispensables sur les cent derniers mètres. La descente fut laborieuse et il fallut bien chercher pour faire encore quelques traces dans la poudreuse.



Le vendredi, toujours depuis Siviez, nous verra monter au col du Métailler à 2’957m par l’alpage de Chervé et la combe de la Crouye Grandze. Samedi, départ en direction de la Rosablanche à 3’335m, toujours depuis Siviez (bis repetita…) mais avec un départ un peu plus matinal. Direction le barrage de Cleuson dont nous longeons le lac rive droite puis presque « droit » en haut en suivant les différents vallons permettant d’accéder aux glaciers du Grand Désert puis de Prafleuri. Arrêt au col sous le sommet pour certains et sommet pour les trois autres. « Enfin un sommet ! » osent  dire les mauvaises langues… et descente par le même chemin. Le chasse-neige sur la route du barrage aura raison de nos derniers sursauts d’énergie. Dimanche, seuls quelques courageux reprennent la route de Siviez pour monter aux Dents Rousses à 2619m puis redescendre en direction  du Tipi par l’alpage de Prarion où, pour terminer, il fallut chercher les dernières taches de neige ou porter les skis. Quatre jours bien rempli avec pas de mal de dénivelé dans les jambes et de belles découvertes sous un soleil radieux.



9 au 13 mars : départ jeudi après-midi  comme prévu pour la montée au Tracouet à 2’196m, (arrivée de la télécabine) par le magnifique alpage de Pra da Dzeu puis redescente par les pistes. Le lendemain, Dents Rousses depuis Siviez et redescente sur nos traces, la descente de la semaine précédente n’ayant pas une neige assez « engageante » à mes yeux. Samedi, montée au col du Métailler  puis descente par le même itinéraire. Contrairement à la semaine passée, nous avons la chance d’apercevoir le « troupeau » de bouquetins qui passe tout l’hiver sur l’arête des Clochers de Novelly. Dimanche, pour faire simple et plus rapide afin d’éviter les bouchons à la sortie du Valais, nous remontons au Tracouet, « droit en haut » à l’ouest de la télécabine.



Merci à Nadia, Sylvie, Jérôme, Nicolas, Vincent et Olivier pour ces beaux moments de partage que ce soit sur les skis, à l’apéro ou autour d’un bon repas…


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Autour de Nendaz

3 au 6 mars : Prévue dès le jeudi midi, l’activité débuta déjà le jeudi matin, initiée par les deux premiers participants arrivés avec un jour d’avance. Quand on aime, on ne compte pas.

Le jeudi nous verra donc partir en direction du col des Louèrettes à 2'912 m depuis Siviez. Le manque de neige, sur la fin, nous obligea à réduire l’allure et à mettre les couteaux, indispensables sur les cent derniers mètres. La descente fut laborieuse et il fallut bien chercher pour faire encore quelques traces dans la poudreuse.



Le vendredi, toujours depuis Siviez, nous verra monter au col du Métailler à 2’957m par l’alpage de Chervé et la combe de la Crouye Grandze. Samedi, départ en direction de la Rosablanche à 3’335m, toujours depuis Siviez (bis repetita…) mais avec un départ un peu plus matinal. Direction le barrage de Cleuson dont nous longeons le lac rive droite puis presque « droit » en haut en suivant les différents vallons permettant d’accéder aux glaciers du Grand Désert puis de Prafleuri. Arrêt au col sous le sommet pour certains et sommet pour les trois autres. « Enfin un sommet ! » osent  dire les mauvaises langues… et descente par le même chemin. Le chasse-neige sur la route du barrage aura raison de nos derniers sursauts d’énergie. Dimanche, seuls quelques courageux reprennent la route de Siviez pour monter aux Dents Rousses à 2619m puis redescendre en direction  du Tipi par l’alpage de Prarion où, pour terminer, il fallut chercher les dernières taches de neige ou porter les skis. Quatre jours bien rempli avec pas de mal de dénivelé dans les jambes et de belles découvertes sous un soleil radieux.



9 au 13 mars : départ jeudi après-midi  comme prévu pour la montée au Tracouet à 2’196m, (arrivée de la télécabine) par le magnifique alpage de Pra da Dzeu puis redescente par les pistes. Le lendemain, Dents Rousses depuis Siviez et redescente sur nos traces, la descente de la semaine précédente n’ayant pas une neige assez « engageante » à mes yeux. Samedi, montée au col du Métailler  puis descente par le même itinéraire. Contrairement à la semaine passée, nous avons la chance d’apercevoir le « troupeau » de bouquetins qui passe tout l’hiver sur l’arête des Clochers de Novelly. Dimanche, pour faire simple et plus rapide afin d’éviter les bouchons à la sortie du Valais, nous remontons au Tracouet, « droit en haut » à l’ouest de la télécabine.



Merci à Nadia, Sylvie, Jérôme, Nicolas, Vincent et Olivier pour ces beaux moments de partage que ce soit sur les skis, à l’apéro ou autour d’un bon repas…


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Initiation rando ski 4e volet

Init.4ème volet.                                                        Mario et Céline

 



C’est en petit comité que s’achève ce quatrième et dernier volet d’initiation de randonnée à ski ficelé à la perfection par Claude Rossé. Les dates initiales du X X février ayant été déplacées au 12-13 mars, ce sont finalement neuf personnes, trois chevronnées pour six néophytes, qui ont pu profiter des conditions météo exceptionnelles de cette fin d’hiver. Direction les Alpes Uranaises.



 



Skis peautés, gourdes remplies, et motivation débordante, la première ascension jusqu’à la cabane de la Lindernenhütte s’est toutefois faite avec le téléphérique local, sorte de remontée mécanique singulière pour son minimalisme et ses allures de hisse-foin plus que de transport de personnes. Les plus jeunes auront été surpris que de telles installations existent encore.



 



Quelques affaires déposées dans l’entrepôt pour décharger les sacs, quelques mots échangés avec le gardien pour charger les cœurs, et toute l’équipe s’est mise en branle à l’unisson pour un premier sommet local. Peaufinage des conversions, intermèdes théoriques, et bons mots ont rythmé l’ascension. Les derniers mètres du Rossstock (2460 m) se sont finalement faits sans les skis.



 



L’après-midi, un mini cours avalanche a permis à tout le monde de réviser ses bases de sécurité et de recherche de personne, même si certains, par leurs malhabiles manœuvres de pelletage, ont eu plus de succès à en ensevelir d’autres qu’à creuser méthodiquement.



 



Après une nuit fidèle à l’ambiance de cabane, un vrai objectif de haute montagne a été planifié par les chefs de course : direction la Blümberg (2405 m). D’un pas sûr, mais plus rapide que l’équipe d’Italiens, laquelle aura profité de notre trace, nous aurons atteint le sommet en un peu plus de trois heures.



 



Après une descente atypique et hors des sentiers battus, Claude sera désormais définitivement convaincu que les chemins de montagne ne doivent pas se choisir en démocratie. Un dernier pique-nique sous un soleil de plomb, une petite remontée pour décrasser le week-end, une descente dans la soupe de printemps, nous étions de retour sur le parking en début d’après-midi.



 



Merci à André, fraichement diplômé chef de course, à Charles pour ses bons conseils et surtout à Claude, qui aura fait découvrir la passion de la montagne en hiver à un nouveau public.



 



 


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Albristhorn

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Strahlhorn

La course a dû malheureusement être annulée car trop dangeureuse à cause du manque de neige sur le glacier et les crevasses.

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Seeland