Courses et formations
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Ve 29 avr. 2022
PDG 2022, Rosablanche,rando à ski Nendaz
La course a été annulée à cause de la météo trop incertaine.
Et la PdG a été reportée à dimanche...
La course a été annulée &a ...
Je 21 avr. 2022
Seeland






Sa 26 mar. 2022
Strahlhorn
La course a dû malheureusement être annulée car trop dangeureuse à cause du manque de neige sur le glacier et les crevasses.
La course a dû malheureusement être ...
Di 20 mar. 2022
Albristhorn
Sa 12 mar. 2022
Initiation rando ski 4e volet
Init.4ème volet. Mario et Céline
C’est en petit comité que s’achève ce quatrième et dernier volet d’initiation de randonnée à ski ficelé à la perfection par Claude Rossé. Les dates initiales du X X février ayant été déplacées au 12-13 mars, ce sont finalement neuf personnes, trois chevronnées pour six néophytes, qui ont pu profiter des conditions météo exceptionnelles de cette fin d’hiver. Direction les Alpes Uranaises.
Skis peautés, gourdes remplies, et motivation débordante, la première ascension jusqu’à la cabane de la Lindernenhütte s’est toutefois faite avec le téléphérique local, sorte de remontée mécanique singulière pour son minimalisme et ses allures de hisse-foin plus que de transport de personnes. Les plus jeunes auront été surpris que de telles installations existent encore.
Quelques affaires déposées dans l’entrepôt pour décharger les sacs, quelques mots échangés avec le gardien pour charger les cœurs, et toute l’équipe s’est mise en branle à l’unisson pour un premier sommet local. Peaufinage des conversions, intermèdes théoriques, et bons mots ont rythmé l’ascension. Les derniers mètres du Rossstock (2460 m) se sont finalement faits sans les skis.
L’après-midi, un mini cours avalanche a permis à tout le monde de réviser ses bases de sécurité et de recherche de personne, même si certains, par leurs malhabiles manœuvres de pelletage, ont eu plus de succès à en ensevelir d’autres qu’à creuser méthodiquement.
Après une nuit fidèle à l’ambiance de cabane, un vrai objectif de haute montagne a été planifié par les chefs de course : direction la Blümberg (2405 m). D’un pas sûr, mais plus rapide que l’équipe d’Italiens, laquelle aura profité de notre trace, nous aurons atteint le sommet en un peu plus de trois heures.
Après une descente atypique et hors des sentiers battus, Claude sera désormais définitivement convaincu que les chemins de montagne ne doivent pas se choisir en démocratie. Un dernier pique-nique sous un soleil de plomb, une petite remontée pour décrasser le week-end, une descente dans la soupe de printemps, nous étions de retour sur le parking en début d’après-midi.
Merci à André, fraichement diplômé chef de course, à Charles pour ses bons conseils et surtout à Claude, qui aura fait découvrir la passion de la montagne en hiver à un nouveau public.






Je 10 mar. 2022
Autour de Nendaz
3 au 6 mars : Prévue dès le jeudi midi, l’activité débuta déjà le jeudi matin, initiée par les deux premiers participants arrivés avec un jour d’avance. Quand on aime, on ne compte pas.
Le jeudi nous verra donc partir en direction du col des Louèrettes à 2'912 m depuis Siviez. Le manque de neige, sur la fin, nous obligea à réduire l’allure et à mettre les couteaux, indispensables sur les cent derniers mètres. La descente fut laborieuse et il fallut bien chercher pour faire encore quelques traces dans la poudreuse.
Le vendredi, toujours depuis Siviez, nous verra monter au col du Métailler à 2’957m par l’alpage de Chervé et la combe de la Crouye Grandze. Samedi, départ en direction de la Rosablanche à 3’335m, toujours depuis Siviez (bis repetita…) mais avec un départ un peu plus matinal. Direction le barrage de Cleuson dont nous longeons le lac rive droite puis presque « droit » en haut en suivant les différents vallons permettant d’accéder aux glaciers du Grand Désert puis de Prafleuri. Arrêt au col sous le sommet pour certains et sommet pour les trois autres. « Enfin un sommet ! » osent dire les mauvaises langues… et descente par le même chemin. Le chasse-neige sur la route du barrage aura raison de nos derniers sursauts d’énergie. Dimanche, seuls quelques courageux reprennent la route de Siviez pour monter aux Dents Rousses à 2619m puis redescendre en direction du Tipi par l’alpage de Prarion où, pour terminer, il fallut chercher les dernières taches de neige ou porter les skis. Quatre jours bien rempli avec pas de mal de dénivelé dans les jambes et de belles découvertes sous un soleil radieux.
9 au 13 mars : départ jeudi après-midi comme prévu pour la montée au Tracouet à 2’196m, (arrivée de la télécabine) par le magnifique alpage de Pra da Dzeu puis redescente par les pistes. Le lendemain, Dents Rousses depuis Siviez et redescente sur nos traces, la descente de la semaine précédente n’ayant pas une neige assez « engageante » à mes yeux. Samedi, montée au col du Métailler puis descente par le même itinéraire. Contrairement à la semaine passée, nous avons la chance d’apercevoir le « troupeau » de bouquetins qui passe tout l’hiver sur l’arête des Clochers de Novelly. Dimanche, pour faire simple et plus rapide afin d’éviter les bouchons à la sortie du Valais, nous remontons au Tracouet, « droit en haut » à l’ouest de la télécabine.
Merci à Nadia, Sylvie, Jérôme, Nicolas, Vincent et Olivier pour ces beaux moments de partage que ce soit sur les skis, à l’apéro ou autour d’un bon repas…







Je 3 mar. 2022
Autour de Nendaz, avancés
3 au 6 mars : Prévue dès le jeudi midi, l’activité débuta déjà le jeudi matin, initiée par les deux premiers participants arrivés avec un jour d’avance. Quand on aime, on ne compte pas.
Le jeudi nous verra donc partir en direction du col des Louèrettes à 2'912 m depuis Siviez. Le manque de neige, sur la fin, nous obligea à réduire l’allure et à mettre les couteaux, indispensables sur les cent derniers mètres. La descente fut laborieuse et il fallut bien chercher pour faire encore quelques traces dans la poudreuse.
Le vendredi, toujours depuis Siviez, nous verra monter au col du Métailler à 2’957m par l’alpage de Chervé et la combe de la Crouye Grandze. Samedi, départ en direction de la Rosablanche à 3’335m, toujours depuis Siviez (bis repetita…) mais avec un départ un peu plus matinal. Direction le barrage de Cleuson dont nous longeons le lac rive droite puis presque « droit » en haut en suivant les différents vallons permettant d’accéder aux glaciers du Grand Désert puis de Prafleuri. Arrêt au col sous le sommet pour certains et sommet pour les trois autres. « Enfin un sommet ! » osent dire les mauvaises langues… et descente par le même chemin. Le chasse-neige sur la route du barrage aura raison de nos derniers sursauts d’énergie. Dimanche, seuls quelques courageux reprennent la route de Siviez pour monter aux Dents Rousses à 2619m puis redescendre en direction du Tipi par l’alpage de Prarion où, pour terminer, il fallut chercher les dernières taches de neige ou porter les skis. Quatre jours bien rempli avec pas de mal de dénivelé dans les jambes et de belles découvertes sous un soleil radieux.
9 au 13 mars : départ jeudi après-midi comme prévu pour la montée au Tracouet à 2’196m, (arrivée de la télécabine) par le magnifique alpage de Pra da Dzeu puis redescente par les pistes. Le lendemain, Dents Rousses depuis Siviez et redescente sur nos traces, la descente de la semaine précédente n’ayant pas une neige assez « engageante » à mes yeux. Samedi, montée au col du Métailler puis descente par le même itinéraire. Contrairement à la semaine passée, nous avons la chance d’apercevoir le « troupeau » de bouquetins qui passe tout l’hiver sur l’arête des Clochers de Novelly. Dimanche, pour faire simple et plus rapide afin d’éviter les bouchons à la sortie du Valais, nous remontons au Tracouet, « droit en haut » à l’ouest de la télécabine.
Merci à Nadia, Sylvie, Jérôme, Nicolas, Vincent et Olivier pour ces beaux moments de partage que ce soit sur les skis, à l’apéro ou autour d’un bon repas…








Di 27 fév. 2022
Bundstock
Sa 26 fév. 2022
Le Curtillet
Samedi 26 février 2022.
Sortie « Le Curtillet » planifiée par notre chef de course Claude.
Au carrefour à Berne, involontairement 😊 la voiture est partie sur la voie de gauche direction l’Oberland.
Le p’tit café nous a été servi au restaurant « Hirschen les Milles Feuilles » à Oey.
La voiture nous emmène dans le Diemtigtal au lieu-dit Fildrich où les 5 participants s’équipent pour la randonnée du jour.
L’approche se fait en suivant la vallée, par pente douce pour la mise en jambe, mais par un froid prononcé car le soleil est encore partiellement caché par le brouillard matinal.
Après avoir traversé la petite rivière, suivi d’un passage quelque peu délicat sur quelques mètres et environs 30 min de montée, nous apercevons les différents sommets devenant ensoleillés et magnifiques avec un enneigement paraissant idéal.
Tout en évoluant en altitude, nous découvrons une neige variable, tantôt dure, tantôt fraiche et soufflée car nous traversons une zone relativement perturbée par un fort vent bien frais. Par ces conditions variables, nous favorisons la sécurité en mettant les couteaux.
Après environs 4 heures et quelques 1200m D+, un dernier couloir ensoleillé et sans vent, nous atteignons le sommet du Männiflüe à 2652m.
Pour mon tout premier sommet, j’ai été accompagné par Chantal, Muriel, Claude et André avec un petit coucou à Nadia qui n’a pas pu nous accompagner.
Anecdote du jour : attention, la portière de la voiture à Claude laisse des traces.
Précision : le Männiflue était bel et bien planifié par Claude en remplacement du Curtillet trop peu enneigé.
Nous avons passé une très belle journée et merci à tous pour la compagnie.
Wilfred.








Sa 19 fév. 2022
Höji Sulegg
Sortie du 20 février à Hoji Sulegg
Après la tempête Eunice qui met l'Europe en alerte, la fine équipe n'est pas intimidé et c'est avec un jour de retard que le rendez-vous est donné. C’est donc à 7h, que deux voitures partent direction Wilderswil. Là, triste constat, on notera que la pause-café n'y est pas une tradition et donc sans tisane de caféine la route continue direction Isenfluh . De là, une charmante petite cabine, authentique dans son fonctionnement, nous amène à Sulwald. Peaux et skis aux pieds, c'est avec un sourire et lunette de soleil, que la course débute. Le chemin sillonne à travers la forêt avec des bouts plus raides que d'autres pour finalement arriver à la Lobhörnerhütte. La vue qui s'ouvre à nous est pharamineuse et juste époustouflante avec les trois sommets en face, Eiger, Mönch et Jungfrau.
Après le photo shooting de ces trois modèles, suit la dernière étape au Hoji Sulegg. Une montée plutôt technique, conversion après conversion, ces dernières se compliquent dû à la neige soufflée et les couteaux sont servis pour faciliter l'ascension. Sur les derniers mètres, la grimpette devient à nouveau un jeu d'enfant et nous permet de s'imprégner du spectacle qui se dessine autour de nous. Arrivés sur la crête, un panorama de 360 degrés s'ouvre à nous … un WOUAAAAH n’en est que le diminutif ; on y voit le lac de Thoune, lac de Brienz, Schilthorn, Lobhörner,
Pour le dîner, le groupe descend quelque peu pour s'abriter du vent mais, sans succès car le sandwich, à peu de chose près, n'a pas pris son envol.
Après cette courte pause gastronomique, la course se poursuit. Entre les rochers qui nous entourent, nous plongeons dans une ambiance du far ouest, un bonheur pour tout le monde.
C’est la descente par la piste de luge avec une neige printanière qui marque la fin de la course et d'une merveilleuse journée en bonne compagnie. Merci Patrice!








Sa 12 fév. 2022
Tsermon
TSERMON
Le faible enneigement du Tsermont a incité notre chef de course, Claude Rossé, à modifier cette sortie au bénéfice de la Tête à Josué.
C’est ainsi que notre petite équipe composée de Brigitte, Nadine, Olivier, Claude et moi-même nous sommes retrouvés pour un bon café au Resto de L’Etivaz.
Sous un ciel radieux, nous nous sommes équipés pour entamer l’ascension de la jolie tête à Josué. Pas de neige qui colle malgré la température agréable, pas de traces glacées, nous avons pu papoter allègrement durant toute la partie dans la forêt. Une vingtaine de centimètres de poudreuse nous faisant de l’œil dès la sortie, les discussions et les regards se sont ensuite tournés vers les pentes susceptibles d’être les meilleures et les moins courues pour redescendre.
Le sommet en vue, bien chauve au début, a pris des allures de coiffure « rasta » au fur et à mesure que d’autres randonneurs plus matinaux s’attroupaient sur le crâne du Josué. Aïe !!! Déjà quelques belles courbes sont venues troubler l’immaculé blanc manteau. Pas grave, il y reste encore de la place.
Après la petite pause ravitaillement et intendance réglementaire, nous rejoignons le sommet pour profiter de la magnifique vue dégagée à 360°. Un grand rapace nous fait l’honneur d’un somptueux passage… Un aigle ?
Une fois n’est pas coutume, le temps se prête pour un casse-croûte au sommet. Petite séance photos, quelques discussions avec d’autres randonneurs, l’ambiance est sereine et détendue.
Nous nous équipons pour entreprendre la descente à l’affût de pans encore vierges. Ne pouvant être trop gourmands, nous nous contentons des petits secteurs encore non parcourus.
Nous traçons tout droit (enfin quand même en jolies volûtes), attirés par la prochaine pente du dessous. Enfin, presque tout le monde, car Brigitte est à la traîne, ses semelles collant. Après un bon coup de grattoir et la technique du « je bouge mes skis tout le temps », les choses rentrent dans l’ordre et elle peut aussi prendre plaisir dans ces bonnes conditions neigeuses.
Nous rattrapons un duo de Vaudois lors d’un arrêt stratégique dans le choix de l’itinéraire final. Après quelques échanges d’idées, nous choisissons l’option « descente tout droit jusqu’en bas ». Nous repérons deux ponts pour traverser la rivière en fond de vallée (mais y en a-t-il vraiment deux ???) Notre duo de Vaudois ouvre la voie en direction du premier pont, qui finalement n’en est pas un. Ils en sont quittes pour pousser jusqu’au prochain pont. Brigitte, avec ses skis qui glissent enfin, les suit de trop près et pousse également. Le reste du groupe vise bien évidemment le deuxième pont. En riant, nous nous retrouvons tous de l’autre côté de la rivière… les derniers sont les premiers.
Maintenant il nous reste à suivre ce fond de vallée pas très pentu pour une partie « glisse-skating-remontée-glisse-skating-glisse » qui nous mène à la voiture de Claude. Heureusement, il y a assez de neige sur tout le tracé, en visant bien, nous ne d








Sa 12 fév. 2022
Traversée Lötschental-Kandersteg
Rendez-vous réussi du groupe de 15 personnes à Wiler, dans le Lötschental, au pied des remontées mécaniques.
Le début de l'expédition est marqué par un trafic conséquent à la caisse des remontées. C'est après une attente pour l'acquisition des billets et 4 lifts plus tard qu'une vue imprenable sur les sommets valaisans marque le début de l'aventure. Premier objectif, le Lötschenpass. Les peaux sur les skis, la troupe s'oriente en direction du Gitzifurggu. Une première descente fantastique dans une belle poudreuse sert d'échauffement et l'extase est au rendez-vous. En effet, Charly en fait un salto, Nadia croque la neige à pleines dents et après une pause pour reprendre de l'énergie, c'est au tour de Marion de s'initier au Tree Hugging, soit un romantisme-écolo avec l'arbre se trouvant en face d'elle. La suite est prometteuse.En début d'après-midi, nous voilà arrivés à Loesch et après une traversée du village, c'est le téléphérique de la Gemmi qui nous amène dans les prochaines hauteurs. C'est là-haut que tout le groupe contemple le fameux Gypaète signalé par le guide Yann. Finalement, après un sourire narquois de ce dernier, l'enthousiasme se calme, car il s'agissait d'un avion à moteur.
La marche reprend pour retrouver la Lämmerenhütte pour y passer la nuit. L'accueil est chaleureux et très gourmand sur le plan culinaire.
Après une bonne nuit de sommeil pour certain et un bon déjeuner pour tous, la course continue pour le prochain sommet, le Rotentotz Lücke. Une deuxième journée ensoleillée s'ouvre à l'équipe avec une bonne neige bien légère avec quelques endroits plus soufflés proches des crêtes, mais quelle joie de refaire les premières traces.
Après 200m de descente, les peaux sont remises pour entamer la dernière montée à la Felshore. Arrivée au sommet, une vue imprenable s'étend sur la face ouest. Un spectacle à couper le souffle, mais pas l'appétit, car suit le gargouillement de l'estomac à Marco.
La dernière étape approche. Une longue descente de 1'000m se profile dans l' Oeschinental. Une pente plutôt raide et soufflée au début qui s'aplanie par la suite permet de faire des adieux à cette sublime région.
Pour la fin, initiation au skating sur les pistes de ski de fond de Kandersteg pour finir la course sur le parking derrière la gare de Kandersteg.
Comme diraient les indigènes : "Schöns isches gsi u bis zum nöchte Mol, Tschau Zämä!".
Merci aux participant(e)s : Lydia, Thierry, Charles, Claire-Lise, Marco, Véronique, Thibaut, Marion, Céline, Mario, Sylvie, Laurent, Géraldine, François, Muriel, Nadia et au guide Yann pour cette belle excursion.







Sa 5 fév. 2022
Randonnée à ski + fondue








Me 26 jan. 2022
Cours avalanche








Sa 15 jan. 2022
Initiation rando ski 3e volet
Après avoir pris un café à l’hôtel Wasserfall à Jaun et admiré la cascade qui rend ce lieu connu, nous prenons la direction de l’ascension du jour. Trois groupes sont formés et tous débutent par les inévitables conversions. Plus les mètres de dénivelé s’additionnent, plus les couches de vêtements diminuent. En effet, la météo printanière en fait suer plus d’un.
Avant d’entamer la dernière montée, une pause s’impose ; chacun sort son casse-croûte et fait le plein d’énergie avant de se lancer dans un exercice DVA (avec plus ou moins de succès).
Cet interlude terminé, le groupe de 19 se met en route pour les derniers mètres de dénivelé afin d’atteindre le sommet Garte à 2040m. Au total, environ 1000m de dénivelé ont été avalés par le groupe avant d’entamer une descente sur une neige quelque peu semée de mottes de terre.
Au final, pas de blessures, du soleil, des magnifiques paysages et un grand bol d’air frais.
Jacqueline et Fabien Hauri




Sa 15 jan. 2022
Traumlücke
Sortie du 15 janvier 2022 au Traumlücke organisée par Patrice Liechti. Participants : Nicole et Gérard Antille, Chantal Cano, Isabelle Vincenzi, Nadine Seckler et Olivier Rammelaere.
Ne changeons pas nos habitudes, départ 7h00 de Tavannes pour Grimmialp. Après un café, direction le parking, surveillé de près par une dynamique indigène. Il y a déjà foule, vivement que nous nous retrouvions seuls en montagne, comme nous l’aimons. La montée se fait d’abord doucement sur un terrain assez plat puis nous entamons la pente pour arriver au sommet du Traumlücke en environ 3h30 pour 1100 mètres de dénivelé. Toute la montée se fait à l’ombre où il fait bon frais et où la neige est excellente. Le décor environnant est superbe avec vue sur de jolis rochers. Nous déposons les skis au pied du petit sommet et finissons à pieds les quelques mètres qui nous restent. La vue est parfaite sur tous les sommets environnants et il n’y a pas trop de monde, le paradis. Patrice nous nomme tous les sommets, ce qui nous scotche mais il faudra que je prenne un cours de rattrapage car je n’ai pas tout enregistré !
La descente se fait dans une neige fantastiquement légère mais attention aux contours trop appuyés car il n’y a pas de fond et les cailloux attendent nos semelles avec impatience !
La pause du dîner (même qu’il n’est plus du tout midi) se fait sur un petit monticule au soleil où nous avons la visite de sympathiques jeunes gens en raquettes.
Retour au parking et via la bière bien méritée au premier bistrot d’ouvert !
Merci à Patrice pour cette superbe virée et à toute l’équipe pour la bonne ambiance.








Sa 8 jan. 2022
Initiation rando ski 2e volet
Pour le 2ème volet d’initiation à la randonnée, rendez-vous 6h15 à Tavannes.
Le projet initial à Chasseral tombant à l’eau par manque de neige, c’est direction Les Mosses que se dirige notre équipée d’une vingtaine personnes.
Arrivés aux Mosses, café en main au Relais Alpin, l’itinéraire est encore une fois modifié afin d’éviter tout risque d’avalanche (degré 3). Puis les équipements sont contrôlés et les groupes sont formés par nos trois guides (Claude R, Charles D, André M). La neige est au rendez-vous et le départ au plat ou en montée douce. Quelques explications plus loin, nous voilà empruntant un petit sentier dans la forêt. Arrivent les premières conversions, nos chefs ne nous auront pas épargné longtemps !
Cette randonnée aux paysages variés, tantôt venteux, tantôt avec un timide soleil, nous emmène jusqu’au refuge de Pra Cornet. Les programmes des groupes varient ensuite : pause pour certains, montée pour d’autres. La pente s’accentue et la difficulté des conversions aussi ; mais les instructeurs ayant fait leur devoir correctement, c’est avec le sourire et sans problème notable que tout le monde dépeaute. Puis chaque groupe suit son itinéraire à travers la poudreuse, prolongeant la descente ou profitant de faire une petite mise au point sur les DVA grâce à une recherche.
Une fois les groupes réunis, on entame le retour au parking par les chemins balisés, permettant ainsi de boucler la boucle. Un dernier verre aux Mosses ensemble, les discussions sont plus franches et les rires plus faciles après une journée ensemble. C’est vers 16h30 que les voitures s’en retourne au Jura-bernois. Vivement la suite !
Marion Prongué








Sa 16 oct. 2021
Sentiers insolites
2021.10.16 Rapport course Sentiers insolites. Bernard
Participants:Claude Rossé,chef de course / Claire-Lise Donzé / Brigitte Dard / Charles Donzé / Armando Perrenoud / Oscar Lobo / Bernard Blanchard
Nous nous retrouvons à 6h30 sur le parking Aldi à Tavannes, déplacement en voiture privée destination Frutigen. Un petit café à l’hôtel Simplon avant d’entamer une longue route étroite à péage qui nous mène à 1608m.
La randonnée démarre par une traversée oblique jusqu’à Unders Chumi 1656m. Nous sommes tous concentrés sur notre montée quand soudain un troupeau d’une vingtaine de chamois dévale la pente à toute vitesse et nous passe sous le nez. Le temps de nous remettre de nos émotions nous continuons notre montée, très raide, à la lisière de la forêt où la température est agréable, pour atteindre l’altitude de 1865m. De là une traversée jusqu’à Gunggstand 1983 m. Petite halte pour se désaltérer ( il fait soif !). Nous entamons alors un petit sentier en zig- zag jusqu’au sommet du Steischlaghore 2320m. Avec le temps splendide le panorama à 360° est à coupé le souffle, côté nord blanc de neige côté sud jaune paille d’herbes sèches le contraste et surprenant ! Une petite traversée sur la crête nous mène au deuxième sommet Tschipparällehore 2397m. Après une petite halte pour admirer la vue dont on ne se lasse pas nous continuons direction sud-ouest, à partir de là l’arête devient un peu plus difficile avec certains passages dans la neige, la prudence s’impose, mais nous atteignons le dernier sommet de la journée sans encombres, le Mäggisserehore 2347m. Nous nous installons pour pique-niquer et les choucas s’invitent à notre table. Après s’être sustenter il est l’heure de redescendre. Un dernier regard à ce paysage féerique et nous entamons la descente qui s’avère assez raide et directe sur une arête, aïe les genoux ! L’arrivée à Frutigen mérite une bonne bière !
Retour au Jura après une magnifique journée. Un grand merci à Claude pour son engagement et sa bonne humeur.








Di 10 oct. 2021
Course surprise
Course-surprise de la section (10 octobre 2021 organisée par le groupe Cornet)
Seuls 6 membres s’étaient inscrits à cette course. Première surprise : 2 inscrits ont renoncé à participer. Total : 4 au départ et pourtant : 2e surprise : 6 participants durant une grande partie de la course… Cette bizarrerie est due à la 3e surprise : tout le monde étant présent avant l’heure du rendez-vous à Moutier, la course a débuté avec 5 minutes d’avance au grand dam de Heidi et Michel Rihs arrivés pile poil à l’heure mais qui se s’étaient inscrits sur le combox du chef de course à 18h43 la veille, combox que ce dernier n’a bien sûr pas regardé. 4e surprise : le flair de Heidi et Michel pour savoir sur quelle montagne la course-surprise allait se dérouler lorsque le rendez-vous était donné derrière la patinoire de Moutier… Enfin, 5e surprise : réussir à partir plus tard que le groupe mais se faire rattraper par celui-ci dans les dernières rampes du Graitery. Pour être plus clair : Heidi et Michel ont emprunté le sentier dit « des échelles » alors que le groupe de 4 (Arielle, Brigitte, Philippe et Yves) ont traversé par les hauts de la cité prévôtoise pour prendre le sentier de la Verrerie puis celui des Brigands. La jonction s’est faite fortuitement au-dessus de l’auberge du Graitery, un peu à la manière de Stanley le 10 novembre 1871 lorsqu’il trouva sur les bords du lac Tanganyika Livingstone : « Dr Livingstone I presume ». Michel, lui, s’est exclamé le 10 octobre 2021, soit 150 ans plus tard : « Membres de la course-surprise, je présume ». (Ndlr. Je ne suis pas certain que cette phrase reste dans la mémoire collective et fera partie du patrimoine mondiale. Mais sait-on jamais ?) Et c’est donc à 6 que la randonnée s’est poursuivie par le sommet de l’Oberdörferberg, la bergerie d’Eschert, la remontée par l’ancien sentier muni de nouvelles chaînes et la descente sur Moutier par les échelles ou la charrière selon l’état des genoux des participants. Pour les statistiques : 19,7 km avec 1484 m de dénivellation ascendante, 6 h de marche effective, 0 arrêt au bistrot, 1,2 déci de rouge/ participant, brouillard durant 1 h 30 min puis ciel bleu en continu, boue à foison. Comme l’a signalé une des participantes : « On en a eu pour son argent »… (Nouvelle Ndlr : la course était gratuite).
Sa 11 sept. 2021
Pointes du Mourti voie normale
Pointes du Mourti
Participants : Claire-Lise, Charles, Thibault, Manon, Lydia, André
Rendez-vous pas trop matinal à 8h à Tavannes où nous nous répartissons en deux convois. Premières retrouvailles au relais du Grand St-Bernard pour un café puis nous reprenons la route en direction du barrage de Moiry.
La montée à la cabane se fait tranquillement au soleil avec une vue bien dégagée sur le glacier et notre sommet. En chemin nous apprenons que l’anémone des alpes en fin de cycle se fait appeler littéralement en suisse allemand « vieux barbu », n’est-ce pas André ?
Nous arrivons tôt à la cabane ce qui nous permet de nous sustenter et ensuite, au grand bonheur d’un ours montagnard, d’entraîner le triple mouflage.
Après l’effort le réconfort, happy hour de thé et café dans la cabane et grand tournoi de pomme que notre cheffe de course remporte brillamment !
Le lendemain réveil à 6h30, les conditions sont excellentes, il fait doux et il n’y a pas de vent. Nous montons initialement dans la caillasse, toujours plus abondante suite à des éboulements et à la triste fonte du glacier de Moiry. Nous nous répartissons ensuite en deux cordées de manière très originale, les filles et les garçons !
Nous montons sur le glacier jusqu’à environ 3270m où nous pouvons rejoindre l’arrête rocheuse. Grâce aux conditions optimales, nous ôtons les crampons pour crapahuter plus agréablement sur le granit. Claire-Lise nous guide en 1h (1h30 ?) à travers les blocs pour arriver à l’arrête neigeuse finale où nous nous cramponnons pour les 60 derniers mètres. Nous atteignons la madonne des Pointes du Mourti (3563m) après 3h d’ascension, où nous prenons le temps d’admirer les grands 4000.
La descente se fait sans encombre jusqu’au barrage. Un grand merci à notre cheffe de course Claire-Lise et Charly ainsi qu’à tous les participants pour l’excellente compagnie et la bonne humeur !








Sa 4 sept. 2021
Bivouac autour des 9 lacs du Grimsel
Course finalement remplacée par la cabane Lohner au-dessus d’Adelboden, sur un jour (raison = risque d’orage, lequel n’a pas manqué d’ailleurs en fin de journée).
Finalement six participants au total, tout s’est très bien passé.




Sa 21 août 2021
Tourtemagne, rando, montagne et grimpe
Rapport de course à Tourtemagne du 21-22.08.2021
Un patchwork des impressions
Gigon Lucien: « Ce fut une magnifique sortie, très conviviale. La partie escalade a été une très belle découverte dans du super rocher alpin. Merci pour l’organisation. »
Evan Lovis: « Super week-end d’escalade, cadre magnifique et rochers excellents! »
Bertrand Conus: « Aaah …Tourtemagne et ses montagnes, ses sentiers et ses rochers, ses randonneurs et ses grimpeurs, ses glaciers et ses pierriers, ses crachins du matin sans lendemain... et son génépi ! Merci à Phil pour ces beaux souvenirs et merci à tous pour vos rires. A l'année prochaine ?»
Famille Heusler: « Quel magnifique week-end ! L’endroit était superbe et les membres de CAS d’une grande gentillesse. Un merci tout particulier à Philippe qui a fait grimper toute la famille».
Bernasconi Mario: « Ce plaisir naît d'un effort sans répit,
propre à nos montagnes en toute escapade.
Il ne reste qu'à aimer, juste après l'escalade,
le prompt réconfort des douces génépis. »
Thomas Docourt : « Un week-end trop cool. Je n’ai qu’une envie, y retourner et donner rendez-vous au soleil. Merci à toute l’équipe et à Philippe en particulier. »
Fabien Schär : « Un week-end magnifique, un paysage à couper le souffle avec des voies d’escalade splendides et une chaleureuse ambiance au sein du groupe. »
Céline Horvath : « Un week-end à la découverte d’une magnifique cabane entourée de nombreux de jeux pour les grimpeurs et les randonneurs. Après nos différents efforts, sur la terrasse offrant une vue à couper le souffle sur les glaciers, nous avions une belle récompense en dégustant une fameuse Forêt noire. »
Mathilde Forster : « Tourtemagne, c’est avant tout un super rocher stratifié, une excellente Forêt noire réservée dès l’arrivée, et pour laquelle j’ai salivé tout l’après-midi, ainsi qu’un génépi fort apprécié après le souper. C’est aussi une sortie de club où l’on trouve tous les âges et c’est ce qui rend ces week-ends-là incroyables. Merci à Philippe pour l’organisation, et aux autres pour les beaux moments partagés. »
Jean-Pierre Grosjean : « Malgré deux petites ondées, belle randonnée au Barrhorn. Le soleil était au rendez-vous au sommet, accompagné d’un vent glacial. Vue partiellement dégagée sur les Mischabel. Magnifique week-end intergénérationnel : 70 ans de différence entre le plus jeune et le plus âgé des participants. Merci à tous pour ce partage. Merci et bravo à Philippe pour l’organisation. »
Philippe Gosteli : « Un enfant de membres, six oj, deux non-membres, dix membres et des invités pour un anniversaire. Quel plaisir de pouvoir partager avec vous ce magnifique endroit en fond de vallée tout en pratiquant l’escalade et la randonnée, tout en dégustant une boisson bienvenue, une Forêt noire, un apéritif sur une magnifique terrasse. Merci à tous pour ces moments conviviaux. Je suis très heureux d’avoir pu faire découvrir ces beaux sites de grimpe. Merci à Mathilde et Jean-Pierre pour leur aide. Merci aussi à l’équipe de cabane pour leur accueil toujours très chaleureux. Rendez-vous à l’année prochaine … en tous cas c’est que je souhaite. »








Sa 14 août 2021
Bishorn, 4'153m, voie normale







Sa 7 août 2021
Vanil D'Ecri et Pointe de Paray
Vanil de l’Ecri et Pointe de Paray, samedi 7 août, Lucien Gigon et Brigitte Dard
Départ matinal avancé à 05h15 depuis Tavannes. Petite visite de la région de Berne, particulièrement des bretelles d’autoroutes du Wankdorf aux alentours de 06h00 afin de récupérer le troisième larron de l’aventure du jour.
Arrivée à 07h45 à Grandvillard et départ. Claude, notre guide du jour, en vieux briscard, a décidé de changer le sens de la course en commençant par la Pointe de Paray.
Nous nous sommes donc élancés à travers la forêt jusqu’à « Les Tsavas », puis avons entamé la raide montée à travers champs, accompagnés du bêlement des moutons et de l’admiration enthousiaste de la flore. Le PRT adopté (petit rythme tranquille) permet d’éviter les crampes et de réfréner quelques ardeurs. Une fois sur la crête menant des Rochers de St-Jacques à la Pointe de Paray, nous avons fait une pause et pu observer un aigle royal ! Puis nous avons continué sur un terrain mixte et relativement gras dans les parties herbeuses, mais surtout escarpé et très aérien !
Le temps d’une petite photo sommitale dans le brouillard qui commençait à nous envahir… puis c’était reparti le long de l’arête en direction du Nord et du Vanil de l’Ecri. A mi-chemin sur un plateau verdoyant, nous avons profité de faire une pause pour avaler un demi-sandwich et contempler le gris uniforme nous enveloppant. La montée sur le Vanil de l’Ecri nous a permis, lors d’une percée dans le brouillard, d’admirer brièvement la vallée de Château-d’Oex. Arrivés au sommet, le temps de photographier une nouvelle croix, et il était temps de repartir. Les capitaines du jour ont appliqué avec ferveur la devise « plus forts ensemble » dans la lecture régulière des cartes… Parvenus à l’intersection direction la vallée ou le Vanil Noir à une demi-heure, la tentation du sommet était grande… Mais la météo nous a convaincu d’entamer la descente casse-pattes de 1400m. Une décision confirmée environ 10 mètres plus loin quand il a commencé à pleuvoir. Les habits de pluie enfilés, l’une de nous a néanmoins testé l’absence d’un pantalon protecteur étanche et découvert de nouvelles sensations les pieds dans l’eau… Les précipitations annoncées pour 13 heures devenant abondantes à 15h furent aussitôt diluviennes…Un bouquetin est passé à 2 mètres de nous, tranquille, pas même incommodé par la pluie. Sur le replat avant la cabane, une salamandre noire faisait la belle sur le sentier. Nous avons fait un arrêt à Bounavaux. Le cheminement agrémenté d’éclairs et de coups de tonnerre, nous avons amorcé la partie dans la forêt avant d’arriver sur la route, puis à la voiture. La course a duré 7h30. L’avant-toit, large d’un demi-mètre, d’une bergerie nous a permis de nous changer et d’enfiler du sec sous une brise fraiche et humide épargnant ainsi les sièges de notre carrosse. En prince Claude a même sorti son parapluie ! Un café et un bon dessert à Grandvillard nous ont réchauffé l’estomac et le cœur. Et comme on le dit chez nous : il n’a plus qu’une fois de 13h à 20h30. La douche chaude fut plus que méritée. Mais l’esprit de groupe n’a jamais été entaché par les conditions maussades. Merci pour ce beau moment partagé ! On se réjouit déjà de la prochaine sortie avec notre guide éclairé !








Ma 13 juil. 2021
Cabane Gelten
La course à été annulée pour cause de mauvais temps.
Très grande pluie le 13 juillet et pluie moins forte le landemain
La course à été annul&eacu ...
Sa 3 juil. 2021
Initiation à l'alpinisme, volet 3








Sa 26 juin. 2021
Teysachaux - Moléson
Teysachaux-Moléson, samedi 26 juin 2021
Tous les participants inscrits à la course organisée par Claire-Lise, nouvelle cheffe de course de notre section, se retrouvent à Tavannes à 7h. Pour le déplacement le ton est donné par Armando : les dames dans le bus conduit par Thérèse, les hommes dans une voiture. Finalement l’idée n’est pas si mauvaise et dans le bus, en tous les cas les discussions vont bon train!
Au Gros-Plané, où le thermomètre atteint à peine les dix degrés, nous apprécions les rayons de soleil nous réchauffant agréablement sur la terrasse du restaurant d’alpage situé dans cette belle région de la Gruyère. Après un bon café et les croissants amenés par la cheffe de course elle-même, la joyeuse équipe se met en marche à travers les pâturages parés d’une riche flore printanière. La pente douce devient plus raide mais également plus glissante. L’adhérence de nos bons souliers et les bâtons sont d’une grande utilité pour atteindre en moins de deux heures le premier sommet prévu au programme, Teysachaux. Comme certains estomacs crient famine, nous pique-niquons en profitant de la vue sur la campagne gruyérienne, les Paccots, les sommets avoisinants des Préalpes fribourgeoises et vaudoises et au loin sur le Lac Léman.
Les bâtons sur le sac, nous amorçons la descente de l’arrête rocailleuse et partiellement exposée qui nous mène sur la jolie crête de Trémettaz. Comme le brouillard s’est levé, nous n’avons pas le privilège d’apprécier le panorama, au grand regret de Claire-Lise qui aurait tant aimé nous en faire profiter !
Nous atteignons le Moléson, mais personne ne voit sa maison ! Nous nous joignons aux touristes, parapentistes et autres sportifs espérant avec eux une éventuelle éclaircie! En vain ! Mais il en faut plus pour entraver le moral de notre sympathique équipe qui redescend le sentier, essayant de repérer des passages plus sûrs afin d’éviter une chute sur ces pierres savonneuses.
Arrivés au Gros Plané, chacun étanche sa soif et certains ne résistent pas à s’accorder les spécialités régionales. Tous, nous retrouvons et apprécions, après des mois de restriction, le bonheur de la convivialité autour d’une grande tablée !
Un grand merci à Claire-Lise pour l’organisation de cette belle course ainsi qu’à André, Armando Brigitte, Charles, Elisabeth, Lydia, Marco, Oscar, Sylvie et Thérèse pour la bonne humeur, l’amitié et les partages qui ont grandement contribué à la réussite de cette sortie.
Gladys G.








Sa 19 juin. 2021
Initiation à l'apinisme, volet 2








Sa 19 juin. 2021
Dent de Folliéran
Dents de Foliéran, samedi 19 juin Sylvie Marmy
Changement de programme, nous arpenterons les voisines de la Dent de Foliéran. Les Dents Vertes, en Gruyère. Départ à 8 h 30 de Charmey. Sont présents : Chantal, Laurent, Brigitte, Sylvie, Nadine conduits par Claude Rossé. Météo ensoleillée, temps chaud et humide. Tous motivés, nous partons de Charmey d’un bon pas pour le haut des installations (déjà 2 h de marche), très jolie ambiance de forêt avant de sortir sur les alpages. De là, nous prenons le sentier sinueux et ascensionnel dans la forêt pour atteindre le petit col. Point de départ de la première Dents de Vounetse 1812 m. Elle porte bien son nom, tapissée d’une végétation verte luxuriante qui joue les trouble-fête. On s’adapte et on grimpe. Sentier bien raide, encore marqué. Plus pour longtemps. Randonnée intéressante. Elle propose une aventure en T6. Ce premier minuscule sommet, nous offre une jolie vue sur la ligne des Dents du Chamois, de Broc, de Brenleire et la Foliéran sur l’ouest. Déjà s’annonce l’exigence pour la descente qui n’est pas évidente à trouver ni à négocier. Sur conseils avertis, on chausse les crampons, le casque. Progression parfois lente, prudence oblige. On sort la corde. Tout ce récit souligne le sérieux mais quand même je vous le dis, on s’amuse aussi, on y prend du plaisir ! La 2 ème Dent qui ne porte pas bien son nom : Chôla, nom qui n’évoque rien d’imagé. Pour le rapport, je me permets de la re-bâptiser : la Canine ! Car quand même la plus impressionnante de la ligne, pointue et rocheuse, elle valide le T6. Réunis au collet, nous partons un peu hésitants, mais pas téméraires, car ça passe ! Enfin pour nous, car d’autres randonneurs rebroussent chemin, surpris. Sortie aérienne, crête fine, soleil cuisant, jolies fleurs de juin. Nous poursuivons, il faut chercher pas de trace évidente, et soulever les branches qui barrent le chemin. D’ailleurs nous sommes casqués. On dépoussière notre matériel, Claude nous a bien renseignés. Même le piolet aussi et on l’utilise pour s’ancrer au terrain raide. Nous poursuivons, la traversée de la Crête jusqu’à Feredetse en passant par la Tour Ronde. Puis descente sur le Gros Morvau, un couloir pas facile, il faut s’armer de volonté et encore sortir la corde. Chacun cherchera sa technique « propre, pas toujours esthétique » pour passer car c’est l’objectif. On s’amuse mais il faut aussi penser à rentrer car la journée a filé, et les réserves de boissons sont bien épuisées. Une chute de pierre plus loin, notre chère amie Chantal nous fait rire en sortant son bel humour, elle s’exclame : quand même on est quand même un peu « verts de fatigue » !! 😊 Une fois toutes les épines de sapin retirées des vêtements et du cou nous nous irons nous désaltérer au village.
C’est sur cette dernière (que)note que je termine, sur le fil le récit de cette randonnée bien fluorée !
Merci Claude et merci à tous pour l’esprit d’équipe.







Di 13 juin. 2021
Initiation à l'alpinisme, volet 1





Sa 5 juin. 2021
Sauvetage personnel







