Courses et formations
L'identifiant qui vous est demandé pour vous inscrire à une course correspond normalement à votre numéro de membre (sans les 0 précédant le no.).
Je 23 nov. 2023
Champoz
Pour marquer la fin de son mandat de préposé aux courses séniors, André Knuchel a organisé une course ad-hoc à Champoz. Après une période très pluvieuse, c’est une journée sèche qui est annoncée, mais, le brouillard est présent lorsque les 9 marcheurs se retrouvent à 10h à Champoz pour le traditionnel café, croissant. Après avoir pris des forces, départ en direction du Mt-Girod par un sentier agréable au début avant de devenir compliqué pour cause de grandes coupes d’arbres. On chemine entre branches et troncs quasiment jusqu’au sommet du Mt-Girod où le soleil nous attend. De là descente tranquille sur Champoz pour le repas de midi où 8 non-marcheurs nous attendent. André en organisateur hors pair avait commandé un menu “langue de boeuf” exellent et très bien servi, le tout accompagné de bons millésimes.
Merci André de tout ton travail durant des années et de l’organisation de cette belle journée. Tu as mis la barre haute pour ton successeur.
Philippe



Di 5 nov. 2023
Lauterbrunnen: sortie culturelle
En ce matin pluvieux, nous ne sommes pas mécontents que la course du jour soit culturelle et non alpine, même si la météo est un peu plus clémente à Lauterbrunnen que chez nous. Ce sont onze participants, représentant avec bonheur les deux sections de la vallée, qui se retrouvent à Lauterbrunnen autour du traditionnel café-croissant. Le déplacement a pu se faire avec deux voitures, car une participante qui s’est inscrite hors délai a décidé de rallier Lauterbrunnen en train. Bravo Christiane et merci !
A 10 heures tapantes nous nous présentons au rendez-vous fixé avec José, qui nous accueille au Tal & Sagen Museum, avec…. cafés et croissants. Pas de problème, on remet ça pendant que nous écoutons avec grand intérêt notre guide parler avec passion de sa région et des origines de ses habitants, ainsi que de la création et du bon fonctionnement du musée. Ensuite nous le suivons dans les diverses pièces de la maison (ancien moulin) où il nous explique l’utilisation qui était faite de certains objets utilitaires et autres outils qui, tous plus intéressants et beaux les uns que les autres, dont un biberon pour les veaux, nous sont cependant inconnus. Nous découvrons aussi que Lauterbrunnen est une référence mondiale concernant la fabrication de la dentelle aux fuseaux.
Pendant que José, Géraldine et François amènent un copieux apéritif dînatoire dans la chambre où José nous a accueillis nous avons tout loisir de déambuler dans les diverses pièces afin de regarder de plus près photos, outils, affiches, skis, dentelles, etc et même, de tester l’assise d’un antique téléski !
A 12h25 nous sortons pour attendre le car postal qui nous amènera à Stechelberg car, eh oui, nous avons droit en prime à une randonnée de 5 kilomètres où lutins, trolls et compagnie nous accompagnent par le truchement de contes que José se fait un plaisir de nous dévoiler à certains endroits bien précis. Quelques détails d’architecture, comme les Seeleguggi (regard de l’âme), petites ouvertures sous le toit des maisons nous sont aussi expliqués.
Pour couronner cette magnifique journée nous avons la chance de pouvoir découvrir les époustouflantes chutes du Trummelbach le jour de leur fermeture. De retour au musée nous prenons congé de notre guide, non sans avoir dégusté le délicieux cake aux carottes de Géraldine accompagné d’un café ou d’une autre boisson. Ah oui, vous aimeriez encore savoir si nous avons dû sortir les impers et autres protections pour la pluie ? Eh bien presque pas !
Un grand merci à Géraldine et François pour l’organisation impeccable et à José d’avoir su capter notre attention par sa verve et son bagout.








Di 29 oct. 2023
Gr. Tramelan: Glacière de Monlési
Le groupe Tramelan avait organisé une sortie inoubliable à la glacière de Monlési. Au départ de Tramelan, nous avons pris la route en voiture en direction des rives du Lac des Taillères. Notre première étape était le restaurant-aux-berges-d'Estaillères, un endroit qui mérite le détour. L'ambiance y était semblable à celle d'un navire du Capitaine Némo, dans un décor de musée maritime.
Après avoir savouré un café revigorant, notre cheffe de course, Claire-Lise, nous a guidés à travers un pâturage boisé et une forêt aux couleurs automnales pour atteindre la fameuse glacière. Équipés de crampons et de lampes frontales, nous avons exploré la grotte avec un émerveillement sans fin. Marcher sur un sol recouvert de glace au fond d’une grotte n'est pas une expérience quotidienne.
Au moment du pique-nique de midi, nous avons allumé un feu pour cuire des cervelas, créant un moment convivial qui nous a rappelé nos racines. Le retour s'est effectué par un chemin différent, longeant les rives du lac pour une dernière pause. C'est là que Michel a eu la brillante idée d'entonner un chant, rapidement suivi par d'autres membres du groupe. Cette spontanéité a exprimé la magnifique ambiance de cette journée mémorable.
Nous exprimons notre gratitude envers Claire-Lise pour nous avoir fait découvrir ces trésors cachés.
Les participants : Yolande, Jean-Claude, Anne, Josianne, Maryline, Daniel, Corinne, Laurence, Wilfred, Véronique, Marco, Margrit, André J, André M, Andréas, Michel et Charles. C'était une aventure inoubliable partagée entre amis, pleine de découvertes et de convivialité.
Charles Donzé








Sa 14 oct. 2023
Sentiers insolites
Sentiers insolites avec : Edith, Christine, Claire-Lise, Maurice, Charles, Bernard et notre chef de course Claude.
Notre sortie débute par le traditionnel café-croissant dans la cité historique de Laufon, la journée commence bien. Ensuite nous partons pour Zwingen où nous garons nos voitures, avant de prendre un bus jusqu'à Büsserach. Bien que la météo ne se présentait pas clémente, nous avons eu de la chance car le soleil nous a accompagnés au début de notre randonnée jusqu'au château de Tierstein et avons suivi l'arête jusqu'au Chemiflue. Pendant notre marche, nous avons eu le privilège de croiser non pas une, mais six salamandres tachetées. Cette rencontre était exceptionnelle, car de nombreuses personnes n'en avaient jamais vu auparavant. Son surnom « salamandre de feu » nous renvoie à un passé magique. L’animal se cachait dans des tas de bois et ne se montrait que lorsque ceux-ci se mettaient à brûler. Ce dragon miniature pouvant mesurer jusqu’à 20 cm de long et vivre entre 20 et 25 ans a ainsi acquis, à tort, la réputation de naître au milieu des flammes. Les couleurs vives de la salamandre tachetée ont une signification importante : mieux vaut ne pas s’y frotter, car elle est venimeuse.
Continuant sur l’arête, la pluie nous a rattrapés et elle a persisté pendant le reste de notre aventure, y compris lors de la descente vers Fehren. Notre itinéraire nous a ensuite menés vers les gorges de l'Ibach, où nous avons été émerveillés par le magnifique sentier qui serpentait entre les rochers.
Une éclaircie bienvenue nous a permis de faire une pause pique-nique.
Pendant notre exploration, nous avons découvert de belles grottes, dont l'une était aménagée de manière à y passer des vacances. Lorsque nous avons atteint les trois quarts des gorges, nous avons décidé de ne pas poursuivre jusqu'à la fin vers Chessiloch, mais de prendre un raccourci à travers la forêt d'Ischlag. Cette décision nous a permis de visiter d'autres grottes et d'éviter de remonter la route le long de la Birse, nous ramenant ainsi à nos voitures à Zwingen.
Une aventure mémorable malgré la météo capricieuse, avec des découvertes fascinantes le long du chemin, une équipe joyeuse et un chef de course au top, merci Claude pour nous avoir fait découvrir cette belle région.
Claire-Lise








Sa 2 sept. 2023
Gr. Tramelan: Lobhornhütte et environs
Le groupe Tramelan avait rendez-vous avec l'aventure lors de sa sortie annuelle dans la région de Rosenlaui. Sous la houlette de Daniel, leur chef de course et organisateur, cette escapade s'annonçait mémorable.
La journée a commencé avec un point de rencontre à Tramelan avant que Daniel nous conduise au restaurant Zwirgi, perché au-dessus de Meiringen, pour une pause café revigorante. Après cette pause bienvenue, nous avons entamé une courte randonnée pour admirer une cascade qui avait une signification particulière, étant donné que c’est le lieu où Arthur Conan Doyle avait choisi de mettre fin aux aventures de Sherlock Holmes. Le tumulte de l'eau dévalant la cascade résonnait dans nos oreilles, créant une atmosphère mystérieuse.
Après cette expérience, nous avons repris une route de montagne étroite en direction de Rosenlaui. Arrivés là-bas, nous avons entrepris une marche à pied à travers des gorges spectaculaires, offrant un spectacle à couper le souffle. Les parois rocheuses profondes et étroites résonnaient du rugissement du torrent, créant une ambiance palpitante. À la sortie des gorges, nous nous sommes installés pour une pause repas de midi dans un coin où de nombreux visiteurs avaient constitué une multitude de cairns, témoignant de leur passage.
Après le repas, nous reprenons la randonnée, cette fois vers la Engelhornhütte, située à 500 mètres plus haut. Le chemin nous a conduit sous le Rosenlouwistock, offrant une vue imprenable sur les grimpeurs courageux en action. À la cabane, nous avons profité de la terrasse ensoleillée pour nous désaltérer et nous détendre avant de repartir, empruntant un autre chemin pour revenir à nos véhicules.
Nous avons ensuite mis le cap sur Schwarzwaldalp, puis nous avons marché pendant 15 minutes pour atteindre la Brochhütte, l’objectif de la journée et notre refuge pour la nuit. L'apéro était une étape incontournable, renforçant l'esprit de camaraderie. Après un bon repas, le "jass" qui a suivi a permis aux plus chanceux de s'imposer, comme d’habitude.
Le lendemain matin, le groupe a été réveillé à 6h00, une heure matinale qui ne plaisait pas à tous, mais nécessaire pour une journée bien remplie. À 7h00, selon le programme établi par Daniel, nous avons fait nos adieux à Andréas et André, qui devaient rejoindre une autre équipe pour une semaine de randonnée dans l'Oberland.
La journée nous amène à conquérir le Wildgärst, avec deux options : l'arête pour les plus courageux et le col pour les autres. Après une heure de montée, le groupe s'est divisé en deux. Un groupe a choisi de suivre l'arête, grimpant une pente raide pour atteindre le Garzen, situé à 700 mètres plus haut. Il a suivi l'arête, parfois vertigineuse et exposée, pour finalement arriver au sommet enneigé.
Pendant ce temps, l'autre groupe, dirigé par Gladys, a opté pour le chemin passant par le Lac Hagelseewli. Deux participants ont décidé de ne pas continuer et ont préféré rejoindre directement la Grosse Scheidegg, puis les autres ont gravi le col en passant par ce qui reste du Blaugletscherli. La montée finale vers le sommet par un sentier enneigé a été éprouvante, mais les rétrouvailles au sommet ont rempli les cœurs de joie, de sourires et de fierté.
Une mention spéciale a été réservée à Grand-Maman Yolande et à son petit-fils Grégory, qui ont partagé un moment précieux ensemble. Cependant, le retour n'a pas été de tout repos, les pieds et les genoux commençant à souffrir gravement. Finalement, nous sommes arrivés au point de rencontre à la Grosse Scheidegg, où une terrasse ensoleillée nous attendait pour un dernier verre avant de prendre le bus qui nous ramène à nos véhicules.
Cette incroyable aventure a été rendue possible grâce à l'organisation impeccable du chef de course, Daniel, et à la camaraderie du groupe, composé de personnes exceptionnelles : Andréas, André, Gladys, Pierre-André, Claire-Lise, Jean-Claude , Yolande, Grégory, Nadine, Béatrice, Corinne, Anouck, Margrit et Charles. Ces moments partagés resteront gravés dans leurs mémoires pour toujours.
Charles Donzé








Je 17 août 2023
Chasseral
Nous sommes 14 participants à nous retrouver par un temps magnifique à la métairie de Nidau pour la course organisée par Dadi et Nicole. Il fait presque trop chaud pour prendre un café au soleil, mais aussitôt dit, le ciel se voile et nous pouvons profiter du café et de l’excellente tresse et brioche préparées par la tenancière. Merci à Rose qui nous offre toutes ces bonnes choses. Notre chef du jour nous informe du trajet et surtout du dénivelé de +500m qui nous attend.
Donc nous voilà partis pour le Schilt par le sentier des Bûcherons. Ce sentier qui zigzague dans la forêt est magnifique et couvert de feuilles. En chemin un petit diable nous fait signe et au sommet, nous laissons un petit message dans le livre des passages en pensant à Hugo, l’un des pionniers de ce chemin. Au point de vue une vue impressionnante sur la Steiner, la vallée du Grabe, le Crêt du Soleil et les rochers du Schilt s’offre à nous. Après avoir fait une photo de groupe sur la supervision du hibou, nous rejoignons le chalet du Ski-Club Sonceboz pour le pique-nique.
Le retour se fait par la ferme des Boveresses. En chemin nous admirons un troupeau de vaches avec leurs veaux qui se reposent paisiblement dans le pâturage et soudain oh surprise, une énorme vesse-de-loup, grande comme un ballon de rugby est au bord du chemin. Aussitôt vue, aussitôt mise dans le sac à dos de Rose pour partage ultérieur ! … et un tip encore, si vous cherchez des mûres pour de bonnes confitures, allez vous promener dans cette région. Après 5h de marche effective, 13km de parcourus et 500m de montée-descente, nous nous retrouvons au point de départ et apprécions les boissons offertes par nos chefs de courses.
Merci à Nicole et Dadi pour cette belle journée.
Anita Choffat








Sa 12 août 2023
Schimbrig en traversée par l'arête
Récit de la randonnée au Schimbrig / LU
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12 août 2023
Participants :
Claire-Lise, notre Cheffe de course - Edith – Gladys – Christine – Claude – Charles – André – Oscar – Maurice
C’est par un temps nuageux – quelque peu orageux que nous prenons le départ de Tavannes, à bord de deux voitures, à destination de l’Entlebuch/LU. Il est 08h45. En cours de route, nous prenons en charge Oscar.
Au village d’Entlebuch, nous suivons la route sur notre gauche pour atteindre Pfisterwald puis Gfellen, où nous avons requis l’autorisation de nous stationner sur le parking du restaurant de l’endroit. Nous prenons un café avant le départ de cette randonnée.
Le sentier nous conduit d’abord le long de la rivière « Grosse Entle » avant de traverser un pont puis sur notre droite, nous débutons l’ascension proprement dite. Très vite, nous laissons derrière nous le pâturage où paissent vaches – moutons et autres ongulés, avant d’arriver sur une partie raide et boisée. Un dénivelé positif d’environ 900 mètres nous attend. Le ciel s’assombrit, annonciateur de pluie. Dans la montée, les bolets font la joie de l’équipe, tandis que les gouttes nous obligent à sortir les parapluies ou revêtir les « imper ». L’averse ne se révélera pas si grave que cela.
Au sortir d’une forêt, nous atteignons un alpage et continuons vers le sommet. Nous foulons l’herbe et déjà nous pouvons apercevoir le Titlis – les Alpes bernoises et le lac des 4 Cantons.
Nous atteignons la Croix sommitale, à 1'816 mètres d’altitude. Le soleil va nous gratifier de ses chauds rayons et c’est parfait pour sortir le pique-nique du sac. Un essaim de « fourmis volantes » nous montre qu’il revendique aussi sa place sur le site !
J’apprécie beaucoup les connaissances géographiques et commentaires que me transmettent plusieurs membres du groupe. Malgré les nuages sur les sommets, la vue circulaire est splendide !
Il est temps pour nous de reprendre le chemin qui suit la crête, en direction Ouest, à découvert puis s’enfonce dans la forêt, tout en serpentant. Nous arrivons sur un emplacement où se situait un ancien hôtel qui, si j’ai bien compris, dispensait des soins pour maladies pulmonaires ou similaires.
La descente se poursuit sur un chemin « blanc », traversé par un ruisseau, ou coule de l’eau soufrée. Pour l’avoir goûtée, c’est plutôt désagréable…
Notre randonnée est sur le point de se terminer car le restaurant où nous avons laissé nos voitures est en vue. Le temps de faire un petit arrêt sur un pâturage pour certains, qui découvrent les saveurs de la menthe poivrée sauvage.
Notre équipe fait un arrêt bienvenu dans le restaurant avant de prendre la route du retour, qui se fera sans encombre.
Au nom de nous toutes et tous, MERCI à Claire-Lise pour sa disponibilité, son organisation, ses compétences et sa bienveillance.
Et à mon tour de vous dire combien j’ai eu du plaisir à faire cette randonnée avec vous !
Cordialement / Maurice, participant








Je 10 août 2023
Cabane Spitzmeilen à Murgsee
Cabane Spitzmeilen
Jeudi 10 août Cabane Spitzmeilen
Participants : Vincent Grosjean, Marlyse Guerne, André Huber, André Jubin, Heidi Rihs, Pierre Rebetez, Joseph Rohrer, Andreas Sprunger, Graziella Baumgartner, Norbert Champion
Il est 7 h. 42 Norbert, Pierre, Joseph et le rapporteur du jour partent de Delémont, le reste de la troupe sera récupéré à Moutier, Bienne et Oensingen, une cousine à Marlyse. Au départ du train à Bienne, il manque Andréas et André Jubin, Marlyse nous signale qu’ils n’étaient pas dans le bus à Tavannes. Où sont nos deux compagnons ? Le train quitte la gare de Bienne, dans notre compartiment, un jeune homme, écouteurs sur les oreilles joue avec son natel, une forte sonnerie nous interpelle, voir même, nous dérange, nous sommes prêts à intervenir. Ouf ! ce n’était que le téléphone de Norbert. Nous apprenons qu’Andréas et André ont raté le bus à Tavannes et nous rejoindrons à Tannenbodenalp.
De la gare d’Unterterzen, nous prenons un bus pour rejoindre la station des télécabines, le bus est bondé, à la sortie du bus, Pierre ne retrouve plus ses bâtons de marche. Après veine recherches, il nous dit ! Espérons que cela profite à quelqu'un et qu’il en fasse un bon usage, que Dieu lui pardonne, parole du Prêtre.
Il est 11h45, Andréas et André arrivent et nous donnent les raisons pour lesquelles ils ont raté le bus. Nos deux compagnons attendaient le train sur le quai, alors que celui-ci est supprimé pour cause de travaux. Inquiété par la présence de deux personnes qui arpentaient le quai de long en large, le chef de gare est intervenu. Malheureusement un peu tard, car le bus était déjà parti. Au CJ ce genre de situation n’arrive jamais, parole d’André Jubin. Enfin la troupe est complète et nous pouvons prendre la cabine pour Maschgenkamm.
La météo est magnifique, il est midi et nous partons en direction de la cabane Spitzmeilen, environ
André Huber
Vendredi 11 août Cabane Spitzmeilen au Murgensee
On n’en croit pas nos yeux, eh oui, un réveil avec un ciel parfait, aucun nuage. Bonne augure pour cette deuxième journée. Elle sera bien remplie. Paysages variés, de l’effort aussi, mais nous sommes tous arrivés à bon port. Il n’y a pas vraiment de port mais un ravisant petit lac, l’Oberer Murgsee, où trois courageux vont même y faire trempette, quel physique ! Mais reprenons depuis le petit déjeuner, frugal mais suffisant. Nous voilà partis pour admirer cette région classée au patrimoine mondial de l’UNESCO. La raison est qu’on y voit l’inversion des couches géologiques comme nulle part ailleurs sur notre planète. Des couches de sédiments, verdâtres à rougeâtres, vielles de 250 à 300 millions d’années sont recouvertes par de plus jeunes, des flyschs brun-gris, de 35 à 50 millions d’années. Monumental, à nous laisser sans voix devant un tel spectacle. Bref plus terre à terre, vaillamment, nous sommes passés par le col de Wissmeilen descendus la vallée du Mülibach et remontés celle du Widersteiner Bach, jusqu’au col, puis dévalés jusqu’à l’auberge de l’Oberer Murgsee. Endroit plein de charme. Le repas du soir, qui devait être exceptionnel, était plutôt conventionnel. Les myrtilles, cueillies tout le long des sentiers, nous ont donné plein de douceur durant les huit heures de cette magnifique randonnée. Merci Norbert.
Joseph Rohrer
Samedi 12 août Murgseefurgglen
Ce matin, il y a un peu de stress "dans l'air". La raison de cette inquiétude est d'arriver à l'heure prévue à Filzbach, notre destination finale. En effet, certaines personnes du groupe sont en possession d'un billet de train dégriffé et nous ne pouvons pas déjeuner avant 7h.30.
La marche débute par une montée au Murgseefurgglen(1980 mètres), ce qui nous permet d'admirer une dernière fois le magnifique Murgsee avec ses eaux limpides et fraîches. Descente pour rejoindre un joli torrent avec un pont. Nous recherchons une personne qui pourrait nous prendre en photo; la première personne que nous accostons refuse catégoriquement de nous rendre ce service, elle poursuit son chemin sans s'arrêter…. et sans nous regarder. Nous aurons plus de succès lors de notre deuxième demande. Petite montée pour atteindre le Mürtschenfurgglen à 1828 mètres.
En redescendant, nous percevons de petits lacs, le panorama est magnifique avec les montagnes, les génisses, les vaches, les fleurs, les cours d'eau…. Pause de midi dans cet endroit bucolique. La veille, quelques-uns d'entre nous ont commandé un repas à l'hôtel; ils ont reçu un cornet avec la mention "Norbert Champion". Au moment de prendre nos victuailles il manque un "Norbert Champion’s dinner "….il sera retrouvé après le repas, bien rangé dans le sac de la personne qui le cherchait…..
Nous poursuivons la descente assez abrupte dans la forêt. Etonnamment il y a des marches d'escalier. Nous apprenons par un de nos participants que ces marches ont été conçues pour permettre au bétail la montée à l'alpage (et donc aussi la descente).
Nous atteignons Talalpsee (1093 m.). Pause bienfaisante à l'auberge de ce lac après une descente de plus de 1000 mètres.
Après cette pause-café, ultime montée à Habergschwänd et descente en télésiège jusqu'à Filzbach avec vue panoramique sur le Walensee.
D'un point de vue culturel, l'étape de ce jour est mentionnée comme étant une randonnée unique dans l'arène tectonique de Sardona, classée au patrimoine mondial de l'UNESCO. Le long du parcours il y a des panneaux didactiques expliquant la formation des alpes, la protection des habitations par rapport aux avalanches…
Retour en bus, puis en train à l'heure prévue (ouf!!!). Deuxième surprise avec les billets dégriffés : le trajet passe par Soleure – Moutier, alors que les autres participants ont un billet via Soleure – Bienne – Moutier !!! Incroyable, mais nous arrivons en même temps à la gare de Moutier.
Un grand merci à notre chef de course et ami, Norbert, qui a organisé cette sortie à merveille. Il nous a permis de découvrir une région située entre les cantons de Glaris et St-Gall. Merci à tous les participants pour la bonne ambiance.
Heidi Rihs






Sa 22 juil. 2023
Sustenhorn
C'était une aventure qui nous a promis des panoramas à couper le souffle et des défis alpins exaltants. Notre rendez-vous à Tavannes a été fixé à 9 heures du matin, et nous nous sommes répartis dans deux voitures pour commencer notre périple. Notre première halte a été à Munsingen, où nous avons savouré café et croissant en compagnie de notre ami Oscar, qui s'est joint à l'expédition. L'excitation était palpable alors que nous avons mis le cap vers le Col du Susten, plus précisément au parking à quelques kilomètres de Steingletscher, où nous avons laissé nos voitures.
Après une vérification minutieuse de notre équipement, nous avons amorcé l'ascension abrupte vers notre objectif de la journée : la cabane Tierbergli, perchée 700 mètres plus haut. Au col, juste avant la cabane, une surprise ! Notre cheffe de course, Claire-Lise, nous a fait descendre sur le glacier pour nous prodiguer des consignes sur le comportement à adopter dans cet environnement glacé, agrémentées d'exercices de mouflage, appréciés de tous. Une fois les exercices terminés, nous avons rejoint la cabane avec satisfaction. Celle-ci était déjà presque complète, ce qui nous laisse présager que nous ne serions pas seuls demain au sommet. L'apéritif suivi du repas ont été grandement savourés, et nous nous sommes retirés assez tôt pour bien nous reposer.
Le deuxième jour, le réveil était prévu à 5 heures et le départ pour 6 heures. Mais le coq de la maison nous a réveillés en fanfare une demi-heure plus tôt, rajoutant à l'excitation déjà présente. Malgré un petit déjeuner expéditif, nous étions parmi les derniers à quitter la cabane, constatant que les alpinistes de cette région étaient matinaux ! Nous avons formé trois cordées, avec Claire-Lise en tête de la première.
Le début de l'ascension a été un long faux plat où la neige avait presque disparu, alternant endroits gelés et mouillés. Puis est venue une pente très raide, où nous avons dû être extrêmement vigilants face aux crevasses que nous avons contournées par moments. Par la suite, un long plateau agréable s'est offert à nous, nous permettant d'observer la progression des cordées parties avant nous sur la grande pente raide qui nous attendait. C'est là que nous sommes entrés dans le vif du sujet.
Notre ami Oscar a alors réalisé que la randonnée sur les montagnes suisses différait de celle des plaines mexicaines de Cancun ! Malgré cela, nous avons grimpé avec enthousiasme, nos crampons adhérant bien à la neige presque glacée. Peu avant le sommet, nous avons croisé les premiers alpinistes qui redescendaient déjà, on pouvait présager que nous serions seuls au sommet pour les photos traditionnelles. Une fois là-haut, les embrassades et les félicitations ont fusées, mais nous ne sommes pas restés longtemps au sommet, nous sommes descendus d’une centaine mètres pour nous abriter du vent et partager un pique-nique revigorant.
La descente par le même chemin s'est révélée plutôt aisée, bien que nous ayons dû rester attentifs dans la zone de crevasses où la neige avait ramolli. Certains ponts de neige semblaient fragiles et nous avons préféré les contourner avec prudence. De retour à la cabane, l'apéro nous attendait à l'heure prévue. Pour beaucoup d'entre nous, ce fut l'occasion de déguster une bière ou un "Suure Most". Il restait toutefois la descente finale, qui pouvait se révéler grossière pour nos pieds et nos genoux, mais une fois arrivés aux voitures, nous nous sommes débarrassés des sacs et nous avons soulagé nos pieds en les trempant dans la rivière d’eau glacée voisine.
Finalement, nous sommes rentrés chez nous à une heure raisonnable. Ceux qui devaient travailler le lendemain allaient pouvoir se reposer. Nous remercions chaleureusement les participants sympathiques : Anouck, Gladys, Nadine, André, Maurice, Stéphane, Oscar, Charles et bien sûr, notre cheffe de course Claire-Lise, qui a orchestré cette expédition avec brio.
Charles Donzé








Sa 24 juin. 2023
Chälihorn
Chef de course : Claude, Participants : Nadine, Brigitte, André, Wilfred, Charles, Edith
Après les salutations d’usage sur le parking d’Orange, nous nous répartissons dans 2 voitures pour prendre la route jusqu’à Jaun. Durant la pause-café, Claude éveille notre curiosité en nous contant sa rencontre avec Félix Thürler. A son enthousiasme, nous comprenons bien vite que le Chällihorn ne sera pas le seul clou de la course.
Un petit tour de village pour parquer les voitures, et nous voilà partis sur le sentier en direction d’Euchelpass, nous conduisant au travers d’une forêt bien en pente pour ensuite longer la lisière dans un pâturage bien fleuri. Nous avons déjà pris bien de l’altitude, sur le sentier qui mène au col. Là, Claude nous conseille de prendre un en-cas et de nous désaltérer, avant d’attaquer les choses sérieuses. Désormais, nous allons appliquer la maxime « Droit en haut » par le pâturage qui nous fait face pour rejoindre la crête encore plus pentue. Pour la suite du parcours, hésitants sur l’itinéraire à prendre, nous suivons la devise de Charles, reçue d’un guide, et qui dit : « En cas de doute, rejoins l’arrête et suis-là ». Les bâtons rangés, nous appliquons ce conseil à la lettre pour crapahuter sur les rochers, jusqu’à ce que, quelques blocs plus loin, nous apercevions un semblant de sentier au pied des rochers, que nous aurions très bien pu suivre. Le rocher est beau, il y a ; de belles prises. Belle surprise au sommet puisque nous y retrouvons Freddy qui sera notre guide, indispensable, pour la descente sur Chälli. Au Chällihorn, autre particularité de ce sommet : une croix en bois (ça c’est ordinaire) mais chapeautée par un globe branché à un petit panneau solaire et que nous distinguerons même lorsque nous serons bien installés à table, quelques centaines de mètres plus bas. Nous apprenons par Freddy que ce dispositif au complet a été transporté et installé par Félix, ce qui n’a pas dû être une petite affaire vu la topographie du terrain. Nous entamons la descente, Claude, Charles et Freddy ne sont pas de trop pour nous conduire sur le bon tracé qui nous amènera en contre-bas sur le sentier pour rejoindre Chälli. Il était temps d’arriver, certains estomacs commencent de protester. Explosion de joie de Félix et Rose-Marie à notre arrivée, partagée par Claude et Charles qui exultent en retrouvant leur ami, accueil plus réservé mais tout aussi chaleureux de Rose-Marie. Nous tous émerveillés à la découverte de ce bijou absolument incroyable, entièrement construit et remodelé par Félix au fil des années et de ses inspirations. Après la visite des lieux, nous dégustons le délicieux repas préparé par Rose-Marie, fine cuisinière qui a aromatisé la sauce du rôti avec les fines herbes de son jardin. L’ambiance autour de la table est de plus en plus joyeuse car Félix nous gratifie de gags hilarants au sujet de son installation progressive dans cet écrin de verdure. Les forces de la nature ont joué les paysagistes puisque lys martagon et alpenrose sont descendus jusque-là avec l’avalanche et qu’il a juste eu à les replanter pour orner ses petits jardinets. Au moment du dessert, nous découvrons que Félix a des dons musicaux ; il se met à chanter en s’accompagnant avec sa schwitzoise, de quoi nous donner l’envie de danser. Avec tout cela, notre pause repas qui devait prendre environ une heure selon le programme de Claude c’est un peu prolongée ! Il nous reste à régler notre dû, avec supplément à notre convenance, pour apporter une mince contribution au projet de soutient que Rose-Marie et lui ont au Népal. Un immense merci à tous les trois pour leur accueil et ce merveilleux moment passé en leur compagnie, sans oublier des remerciements à l’épouse de Freddy pour le délicieux cake.Un minimum de concentration, pour regagner la vallée car, si le sentier est moins pentu, le flanc de coteau qu’il traverse est lui bien abrupte. Pas le temps de partager un dernier verre ; nous nous contenterons d’un bain de pied dans la fontaine du village pour décréter à l’unanimité que Claude à fait très fort et que nous pouvons lui décerner un 6+ pour l’organisation de cette mémorable journée. Un immense merci, à tous les participants pour l’ambiance magnifique qui a régné tout au long de la journée. Edith Kohler








Sa 17 juin. 2023
Dent de Combette et Rochers des Rayes
Course du 17.06.2023 organisée par Claire-Lise Donzé à la Dent de Combette (2082 mètres) et aux rochers des Rayes (2026 mètres). Participants : Brigitte 2x, Josianne, Edith, Gladys, Wilfred, Charles, Bernard, Oscar, André, Claire-Lise et Nadine. Il s’agit d’une randonnée T4.
Le rendez-vous est fixé à Tavannes à 7h00. Nous pouvons remplir trois voitures et c’est parti pour le rendez-vous à la buvette des Invuettes à Charmey où Oscar nous y rejoindra. Il n’est pas encore 9h00, l’heure d’ouverture de la buvette, mais ils acceptent quand même de nous servir quelques cafés ou jus de fruits. Une fois abreuvés, nous repartons en voiture jusqu’au parking du Gros Mont à 1365 mètres (parking gratuit, c’est devenu rare !). Mieux vaut ne pas devoir croiser car la route est étroite et sinueuse. Je ne viendrais pas ici à vélo !
La vue depuis le parking est déjà superbe. Nous sommes entourés de pâturages fleuris avec des anémones, des arnicas des montagnes, des colchiques des Alpes, des vieux poilus (il doit certainement y avoir un nom plus scientifique !), des géraniums sanguins, des joubarbes des montagnes, des orchidées sauvages, des trolles d’Europe, des épinobles en épi, des myosotis, des globulaires, des gentianes et c’est le début de la floraison des rhododendrons. J’arrête là parce que mon cerveau va exploser à force de rechercher tous ces noms (merci google !). Au loin nous attendent des sommets pointus qui paraissent difficiles d’accès depuis le bas en raison des rochers. Nous partons dans ces pâturages en faisant tout pour ne pas marcher sur ce tapis de fleurs puis le sentier commence à monter bien raide avec un petit passage très sympa entre deux rochers, nous devons parfois utiliser les mains sur les rochers. Enfin c’est le canton de Fribourg : en haut, en bas.
Nous arrivons au sommet de la Dent de Combette juste après midi, il était temps, nous avons la dalle. Nous y rencontrons un couple très sympa de cibistes, je ne savais pas que ça existait encore. Il paraît que c’est une journée spéciale de rassemblements de cibistes sur beaucoup de sommets. Nous n’étions pas au courant !!! Le temps d’engloutir un sandwich et surtout d’observer la vue puis c’est reparti pour la descente qui rejoint l’arrête que nous parcourons pour nous rendre au prochain sommet, soit les Rochers de Rayes. Très jolie traversée et pas trop longue. Toute l’équipe est bien motivée et marche d’un bon pas. Bien sûr quelques arrêts sont indispensables pour photographier ces jolis tapis de fleurs multicolores. Les fleuristes n’ont rien inventés pour faire des bouquets, il suffit de regarder les pâturages.
Voilà, c’était trop beau pour que ça dure, il faut bien redescendre. Les genoux craquent, les hanches se bloquent, les dos se courbent, enfin c’est la descente. Heureux, nous arrivons sur un sentier blanc qui nous ramène aux voitures et qui est presque plat, histoire de tout remettre nos articulations dans le bon ordre. Nous avons mis avec les pauses 6h30 pour faire ce très joli tour.
Je n’ai plus qu’une hâte, goûter le fromage du coin où les vaches ont brouté ces jolies fleurs, il va être à tomber ! L’Etivaz a maintenant pour moi un autre attrait.
La course se termine où elle a débuté, soit à la terrasse de la buvette des Invuettes à Charmey. La crème y est double voire triple et les glaces copieuses voire volumineuses. Les vaches ne sont pas loin ! Quelques-uns ont encore l’énergie d’attaquer ces monticules de crème !
L’occasion de rencontrer de belles personnes et de passer une superbe journée dans un décor de rêves. Merci à Claire pour cette belle course, qu’elle a menée avec brio.
Nadine








Sa 17 juin. 2023
Gantrisch, via ferrata et traversée
Sortie magnifique entre approche, via ferrata, jardins alpins fleuris et grillades...





Sa 3 juin. 2023
Les Aiguilles de Baulmes et le Suchet
Rapport de course
Les Aiguilles de Baulmes et le Suchet
Claire-Lise, notre cheffe de course, propose pour le samedi 3 juin un magnifique itinéraire dans le Jura vaudois.
Nous sommes une belle équipe de 12 personnes séduites par cette randonnée. Rdv est donné à Tramelan, parking du CIP à 07h00. La journée s’annonce ensoleillée avec un petit risque d’orage dans l’après-midi. Nous chargeons les voitures, profitons d’un arrêt au tea-room de Baulmes pour un café, croissant ou autre. Un parking juste en dessus du village nous permet de démarrer notre marche dans la forêt par un joli sentier. Nous atteignons la crête que nous suivons jusqu’à l’aiguillon. En chemin quelques points de vue spectaculaires s’offrent à nous. Le timing est parfait, il est juste midi quand nous atteignons le 1er sommet du jour. Pause picnic avant la descente qui nous permettra de rejoindre le Suchet. Une descente raide qui demande une attention et un pied sûr. Pourtant quelques coureurs participant à un trail n’hésitent pas à dévaler cette pente au pas de course. En chemin nous découvrons de nombreux vestiges militaires, comme un fortin. A travers pâturage nous suivons un tracé qui nous mène au sommet du Suchet. Là encore un nouveau spectacle visuel. Nous apercevons les lacs Léman et de Neuchâtel, mais l’orage et des nuages noirs menacent. Sans traîner nous entamons la descente douce sur Baulmes. Une fine pluie qui tantôt s’en va et tantôt revient nous accompagne sur quelques kilomètres. Vers 17h00 nous rejoignons les voitures, le soleil est de retour et nous profitons d’une belle terrasse pour nous désaltérer. Nous avons marché quelques 17 kilomètres pour plus de 1200 mètres de dénivelés positives et négatives.
Tous très reconnaissants d’avoir partagés cette belle journée, nous remercions Claire-Lise pour l’organisation parfaite et nos chauffeurs.
A bientôt pour de nouvelles découvertes.
Christine








Di 14 mai 2023
La Vallée d'émeraude
Annulée, par manque dînscriptions.
Annulée, par manque dînscriptions. ...
Sa 18 mar. 2023
Cabane Cristalina
Cabane Cristallina.
Une belle sortie dans le Val Bedretto, partant de Tavannes à 8h30, nous sommes arrivés à All Aqua à 10h45, réalisant ainsi que le Tessin n'était pas si loin. C'était normalement l'heure du café-croissant, mais notre ami André a voulu nous soumettre les performances d'une BMW dans la neige, mais au lieu de cela, il s'est embourbé profondément, nous obligeant à sortir les pelles pour le remorquer et le libérer. Malgré ce contretemps, le temps était magnifique et après un court trajet en bus jusqu'à Ossasco, nous avons commencé notre montée sur un sentier, parfois en enlevant nos skis. Nous avons traversé une belle forêt de mélèzes et atteint le Val Torta pour arriver à la cabane Cristallina, située à 2577m. La cabane était moderne et confortable,
Le deuxième jour, nous avons eu la chance d'avoir du soleil et notre objectif était d'atteindre le sommet Cristallina, mais les conditions étaient plutôt avalancheuses, semant le doute dans nos esprits. Nos chefs ont finalement opté pour un autre sommet, la Cima di Lago, culminant à 2832m. Une fois arrivé au sommet, le ciel s'est couvert et nous avons décidé de redescendre par le col de la Cima Di Lago puis le glacier de Vellagia dans une neige cartonnée et sans visibilité. Nous avons remis les peaux pour atteindre le col Poncione Va Piana, puis avons effectué une longue descente avec des neiges parfois cartonnées, parfois poudreuses, parfois glacées pour rejoindre All'Aqua, mettant fin à notre périple.
Au final, malgré quelques imprévus, notre sortie dans le Val Bedretto a été une expérience potentiellement enrichissante, nous offrant des paysages magnifiques et des souvenirs mémorables. Et bien sûr, le repas typique tessinois de risotto, asperges et tome du terroir a été un délice dont nous nous souviendrons longtemps.
Merci à Claude et André pour l’organisation de cette belle découverte et aux participants, Chantal, Manon, Claire-Lise, Thibaud, Wilfred et Charles pour leur jovialité.
Charles Donzé








Je 16 mar. 2023
Tour du Ciel
Le projet de faire le « Tour du Ciel », de la cabane du Grand Mountet à la cabane Tourtemagne a été initié par Mélanie Henchoz qui m’a demandé de l’accompagner comme chef de course adjoint pour les passages sur les glaciers.
Suite aux chutes de neige des jours précédents, la situation avalancheuse nous a obligés à changer nos plans. Après de longues recherches et plusieurs coups de fil, Mélanie nous a mis au point un très bon plan B plus sûr. C’est donc en direction du col du Simplon en fin de compte que Mélanie Henchoz, Thérèse Lerch, Mélanie Krebs, Corinne et Daniel Liechti et moi-même sommes partis le jeudi 16 mars.
Dès l’arrivé au col, nous avons immédiatement chaussé nos skis pour partir en direction du Spitzhorli, un sommet sûr en cas de situation avalancheuse. Les 750 mètres de dénivelé nous ont permis de nous mettre tranquillement en jambe. Ce n’était pourtant pas suffisant pour trois « drôles de dames » de notre équipe. Elles ont donc profité des derniers rayons du soleil pour remonter les pentes en direction du Hübschhorn et ajouter quelques virages à cette journée.
Après nous être installés à l’Hôtel Monte-Leone, pris une bonne douche et dégusté le menu à 5 plats proposé par la maison, nous avons terminé la journée par une partie de Jass que moi et Thérèse, qui y jouait pour la première fois, avons gagné !
Le deuxième jour, nous sommes descendus avec notre bus en direction de l’Italie jusqu’à Simplon pour faire l’ascension du Wyssbodehorn. Arrivé au sommet de celui-ci nous sommes redescendus à l’Est en direction du Sirwoltusee. Puis, après une petite pause picnic au soleil, nous avons remis les peaux à nos skis pour remonter de jolies pentes en direction du Böshorn Rauthorn, mais nous nous sommes arrêtés vers 2800 mètres car la neige avait été trop soufflée pour continuer à ski.
Nous avons ensuite entamé la descente en direction du Nord-Nord-Est pour rejoindre la route du col un peu en-dessous de Nideralp. Pendant que Mélanie Krebs et moi-même remontions la pente sur plus d’une centaine de mètres pour chercher le portemonnaie qu’un participant dont je tairai le nom pensait avoir perdu, Mélanie Henchoz et Thérèse étaient facilement prises en stop pour aller rechercher notre véhicule. Le matériel chargé, nous avons démarré pour retourner à notre hébergement. La portière du coffre ayant mal été fermée, nous avons commencé à semer nos sacs à dos sur la route ! Fort heureusement, nous l’avons remarqué assez tôt avant de rejoindre la route principale.
Le portemonnaie est réapparu à l’hôtel et le match de Jass a, ce soir-là, été gagné haut la main par les Mélanies.
Après une bonne nuit de repos, nous avons repris la route en direction du Nord cette fois-ci. Après avoir parqué dans un virage à Bärisal, nous sommes montés à l’Est en direction du Bord… pardon, du Bortelhorn. Dans la pente sous la Bortelhütte, le reste de neige sur les lacets du sentier permettait tous juste de passer sans enlever les skis, à condition de ne pas avoir trop peur pour ceux-ci. Après 1300 mètres de dénivelé, vers 2900 mètres, nous avons déposé nos skis, mis nos crampons et nous sommes encordés pour escalader l’arête finale. Une centaine de mètres sous le sommet, alors qu’une partie d’escalade rocheuse nous en séparait nous avons décidé de retourner sur nos pas, car l‘après-midi était déjà bien avancé.
Après une descente très plaisante et un piquenique tardif à l’abris de la Bortelhütte, nous avons rejoins notre bus en fin d’après-midi. Nous en avons cette fois-ci soigneusement fermé le coffre, puis avons regagné la vallée en direction de nos foyers. Merci infiniment à Mélanie pour la préparation de ce séjour qui n’a pas été rendue facile par les conditions d’enneigement.
Raphaël
Merci à Raphaël pour ce super rapport, ta présence a été une magnifique source de pratique et de connaissance… Merci à tous les participant(e)s dont une certaine Thérèse qui est véritablement sortie de sa zone de confort… Bravo
Mélanie H.






Sa 11 mar. 2023
Cabane Maighels et ses belles pentes


Sa 4 mar. 2023
4e volet initiation ski-rando Alpes
Dans le cadre du 4ème volet de formation pour débutants à ski de randonnée, nous nous sommes déplacés en Valais pour passer 2 jours dans le Val de Bagnes.
12 personnes y ont pris part, dont nos 2 chefs de course, Claude et André.
Samedi 04, nous avions rendez-vous au Relais du Gd St-Bernard, pour partager un café avant de nous diriger sur Loutrier, endroit où les 2 voitures ont été garés.
Equipés d’un matériel quasi complet pour la randonnée en montagne, nous nous sommes dirigés vers la cabane Brunet, tout d’abord en suivant une route d’alpage recouverte de neige, puis, à partir de l’alpage qui surplombe le village précité, nous avons serpenté en forêt sur un sentier pédestre.
Après quelques petites pauses bienvenues, nous avons atteint la cabane, sous un soleil radieux et une température agréable.
Chacun a pu se restaurer sur un banc, aux abords de la cabane.
Le moment est venu de parfaire puis d’exercer nos connaissances, du point de vue technique, notamment en ce qui concerne la recherche de personnes en cas d’avalanches.
Pour cela, André s’est chargé de dissimuler sous la neige plusieurs « DVA », juste en dessus de la cabane.
Pas si évident que cela comme nous avons tous pu le constater, car ce genre de recherches nécessite de la précision, de la rapidité et de la coordination, sans toutefois oublier la parfaite maîtrise de son DVA (n’est-ce pas Claude ?)
Au terme de l’exercice, le groupe pouvait choisir entre une petite ascension des pentes environnantes – ou se rendre à la cabane pour se reposer, se désaltérer ou contrôler son matériel pour la 2ème journée, particulièrement le réglage des crampons. Opération pas inutile, car quelques accessoires se sont révélés mal adaptés.
Le coucher du soleil approchant, de même que la fraîcheur associée, le groupe a pu prendre possession des dortoirs, suivi d’un apéritif.
Vers 18h30, un bon repas nous a été servi par le personnel de la cabane, sympathique il faut le dire. Nous avons donc pu déguster un bon bol de soupe, un émincé avec riz et pour terminer un dessert chocolaté-crème.
Assez tôt dans la soirée, nous avons regagné nos dortoirs qui, disons-le au passage, ont été rénovés récemment et dont le confort mérite d’être souligné.
Comme c’est souvent le cas en cabane, les nuits ne permettent pas à tous de jouir du calme réparateur, je veux dire par là qu’il y a parfois des bûcherons à la place des randonneurs. Eh oui, dans le dortoir « Renards », des stères de bois ont été sciés, pratiquement sans pause…
2ème journée
Dès 06h45, toute l’équipe a pu apprécier un bon déjeuné, avant de préparer son matériel puis de chausser les «lattes » pour amorcer la montée sur le Mont Rogneux. Le soleil pointait déjà sur les sommets et la température n’était pas excessivement froide.
Nous étions parmi les premiers à grimper et c’est Claude qui, en tête, nous donnait le rythme. André, quant à lui, fermait la marche tout en s’assurant de ne perdre personne.
La progression vers le sommet a été agrémentée de quelques arrêts, permettant à chacune et chacun de se désaltérer, de se sustenter ou d’adapter sa tenue vestimentaire.
Vers 10h30, nous sommes arrivés pratiquement aux 2/3 de l’itinéraire et c’était le moment de chausser les « couteaux » pour effectuer un tracé qui devenait plus pentu et plus technique. Ceci nous a permis d’encore exercer les conversions apprises au cours du volet « 2 ».
Le sommet approche mais il est nécessaire et prudent de mettre les crampons, comme nous l’avait annoncé Claude. Pas si évident de les mettre dans la pente, parmi les rochers. Skis sur le sac, tout le monde gravit les quelques centaines de mètres de dénivelé avant de vaincre le sommet du Rogneux.
On se félicite puis on prend quelques photos – avant de poursuivre à pied sur une courte distance afin de trouver un endroit un peu plus plat pour s’équiper en mode « descente ».
Nous empruntons un couloir assez raide – quelques randonneurs chutent, sans gravité.
Un peu plus loin, au soleil, nous prenons le temps de dîner avant de poursuivre sur des champs de neige, magnifique à skier – quelques belles pentes sans grande trace et avec de la poudreuse s’offrent à nous. On peut entendre André crier des « Yahouuu » à quelques reprises tel le plaisir est là.
La suite nous apprendra que l’itinéraire choisi pour terminer notre descente n’aura pas été le plus opportun. En effet, les traces d’autres skieurs passés avant nous se sont faites rares, puis soudain plus rien. La forêt est devenue plus dense, la pente plus raide et les rochers nous ont contraints à faire un peu d’acrobatie. A un moment donné, il fut nécessaire de déchausser les skis, d’installer des cordes pour nous permettre de traverser un tronçon délicat. Tous les participants sont restés calmes, coopératifs et solidaires face à cette situation qui n’était pas forcément prévue au programme. Dans l’aventure, Philippe n’a juste eu le temps, à un certain moment, de dire « adieu » à un de ses skis, suite à une rupture d’un élément de sa fixation. Au final, il l’a été retrouvé, au grand soulagement de tous.
La dernière portion de descente s’est faite sur la route de montagne enneigée et ainsi nous avons rejoint le parc à voitures ; il était aux alentours de 15h00.
Avant de regagner nos domiciles respectifs, Claude nous a offert une boisson dans un estaminet situé un peu plus bas et a profité de nous dire combien il a apprécié notre groupe lors de ces différentes formations. A notre tour, nous avons remercié nos chefs de randonnées par des applaudissements.
Maurice, participant








Sa 4 mar. 2023
Cheibehorn (Diemtigtal)
Trois inscrits du CAS + un externe ainsi que le chef de course. Temps sûr, conditions printanières au départ à 1’200 m, puis hivernales en-haut à 2’400. Pente nord-est parfaite à la descente, permise par le niveau d’avalanche de 1.
Superbe course, aucun problème rencontré.
Trois inscrits du CAS + un externe ainsi que le ...
Je 2 mar. 2023
Autour de Nendaz
Jeudi 2 mars: montée à Tracouet par Praz da Tseu pour se mettre en jambes. Descente sur la piste en fin d’après-midi. Rien que pour nous...
Vendredi 3 mars: col sous le Métayer (2957m). Descente dans la poudre.
Samedi 4 mars: ski de piste jusqu’à Veysonnaz
Dimanche: Dts Rousses depuis Siviez. Par Tortin et la Tsa. Descendre dans la poudre par l’itinéraire de montée.
Grand beau durant les quatre jours sous un soleil généreux et une température agréable.
et, cerise sur le gâteau, lundi soir, petite sortie au clair de lune…
Merci à Heidi et Florence pour leur présence.








Di 26 fév. 2023
Aermighore
Aermighorn, Albristhorn, Wildstrubel, bref, le plan c’était un sommet dans l’Oberland, si possible enneigé.
Compte tenu des conditions météorologiques et de l’accessibilité, nous avons fait preuve de flexibilité. Après une courte procrastination, nous avons finalement voté. Après un vote rapidement expédié, n’étant que trois, Florent, Chantale et moi-même, nous sommes allés nous perdre à Engstligenalp… Un de ces coins reculé, au nom quasi imprononçable pour le commun des romands, qui font le charme de l’Oberland.
Objectif : essayer d’attraper la première benne pour nous ramener à environ 1900m afin de nous rapprocher le plus possible des 3243m de notre objectif de la journée, à savoir (suspens… ) Le Wildstrubel.
Dès la monté à la station d’Engstligenalp, le ton est donné. Ça sera froid, venteux et sans visibilité. Bref, à part nous, la benne est vide de randonneurs à ski. Je regarde avec un peu d’envie les autres sportifs du dimanche équipés pour la cascade de glace, mais Florent me rend attentif à l’état des cascades de glace, étroites et effilées par endroit.
Arrivé en haut, on se donne du courage avec un rapide café, puis nous attaquons. La visibilité est de quelques mètres, il n’y a pas de trace : Le trajet se fera à la carte et au GPS.
Dès les premiers petit détours, Florent lance le leitmotiv de la journée : « Ce n’est pas une sortie plaisir mais une sortie aventure ».
Après une longue distance sur un plateau, nous grimpons. La neige fraîche est par endroit très abondantes promettant de belles descentes… Si la visibilité s’améliore.
Nous progressons lentement du fait de la faible visibilité. La position doit être contrôlée très régulièrement et nous n’avons pas nécessairement toujours pris les trajectoires optimales. Chantale et moi restons admiratifs de la tâche herculéenne entreprise par Florent, nous ramener à +1300m sur une belle distance, le tout presque en aveugle.
Après près de 900m de montée, en grande partie avec les couteaux, nous nous approchons de la Frühstücksplatz. La Frühstückplatz est très exposée et nous sommes déjà frigorifiés, on se pose donc à l’abri pour un dîner rapide. Après une collation assez vite engloutie et quelques photos et selfies (révélant pour ma part une allure approchante celle d’un belligérant sur le front russe), nous nous remettons en route et attaquons la partie la plus raide.
La neige est peu stable, la raideur rend les conversions difficiles. Nous progressons encore plus lentement et l’orientation est hasardeuse dans un brouillard toujours plus dense.
Après un nouveau point rapide, il faut se rendre à l’évidence : il reste 1 tiers du trajet à effectuer et nous avons mis trop de temps pour arriver à l’endroit incertain où nous sommes. Le temps est devenu trop limite, nous interrompons à 2900m notre ascension.
On se prépare, les peaux et couteaux sont vites enlevés, on chausse les skis et on s’élance sur cette pente super raide. N’ayant aucune possibilité d’orientation, on suit Florent comme son ombre (ou plutôt l’ombre de Florent à travers la purée de pois). Belle consolation : la neige est top et nous offre du bon ski. Rapidement, trop rapidement, nous atteignons le plateau monotone. Les peaux remises, nous progressons tranquillement vers le bistro du matin en fantasmant sur un Kafi Lutz.
Au final, une belle sortie « aventure » ou on s’est consolé de ne pas avoir atteint le sommet avec un peu de bon ski. Encore merci à Florent de ne pas nous avoir fait nous catapulter à travers une corniche.
Christophe Mertz
Sa 18 fév. 2023
Rauflihore (2323 m)
Rauflihore – 18 février 2023
Rendez-vous à Tavannes aux aurores pour rejoindre le Dimtigtal. Comme tous les restaurants de la vallée sont fermés, nous nous retrouvons au restauroute de Münsingen pour la pause-café. On reprend la route, cette fois-ci pour rejoindre notre lieu de départ. Nous chaussons les skis et c’est sous un ciel sans nurage que nous entamons la montée vers le sommet. Après une première partie raide et à l’ombre, nous arrivons sur un plateau ensoleillé où nous nous arrêtons pour faire une petite pause. Ne reprenons notre chemin et atteignons rapidement le col, le sommet paraît proche, mais il nous faudra encore une quarantaine de minutes avant de l’atteindre. Nous profitons du soleil et avalons notre pique-nique avant de se préparer à la descente. Les conditions ne sont pas trop mauvaises, nous arrivons à faire quelques belle courbes, mais nous devons déchausser à certains endroit qui était trop peu enneigés. C’est avec le sourire que nous regagnons les voitures. Sourire qui ne nous quittera pas non plus sur la terrasse ensoleillée où nous nous remémorons cette belle journée en montagne.
Merci à André pour l’organisation, ainsi qu’a Claire-Lise, Anne, Nadine, Charles, Claude, Stéphane et Wilfred pour la bonne ambiance.
Thibaut








Sa 11 fév. 2023
Rotsandnollen (2700 m)
Chef-fe-s de course : Claude et Claire-Lise
Participants : Nadine, Chantal, Isabelle, Laurent, Wilfred, Nicolas, Charles, Marco et Véro
Par une matinée glaciale et sous un ciel étoilé nous voilà parti-e-s direction Stockalp où nous commençons pas prendre notre traditionnel café-croissant.
Skis à la main et à la queuleuleu, nous prenons les télécabines pour arriver à Melchesee-Frutt.
Les lunettes de soleils sont nos compagnons de route pour la journée. Un peu de crème solaire et hop, départ le long du Melchesee. Le Tannensee est recouvert de neige avec une petite église trônant au milieu de ce sublime paysage. Nous suivons la longue, très longue route en pente douce au décor pictural direction Rotsandnollen. De là, nous voyons l’antenne du Titlis ainsi que Trübsee.
Un, deux, trois….. sabots, peaux mouillées, carres gelées, plusieurs arrêts sont nécessaires. Différentes stratégies sont débattues et testées afin de savoir laquelle est la meilleure à adopter lors d’une prochaine course et, selon lesdits essais, il s’avère que la crème solaire détiendrait la palme d’or. Arrivé-e-s au col, prise d’un petit encas avec vue sur le Chasseral et zou, dernière montée pour le sommet. Malheureusement, un nuage décide de nous priver d’une photo de groupe ensoleillée. Les peaux dans le sac, nous redescendons au col et poursuivons directement direction Stockalp. Premier petit couloir avec une neige abondante, deuxième couloir, neige de plus en plus lourde suivie d’un balai de chutes plus rock and roll les unes que les autres. De moins en moins de neige sur le tracé, des cailloux plus fréquents, voilà de quoi être attentif-ve-s.
Petit passage en forêt où ma course s’arrête brutalement. Je termine ma journée par une mémorable envolée, accrochée aux patins de l'hélicoptère d’où je profite d’un panorama à 360 degrés avec vue sur les Alpes et le Lac des Quatre Cantons.
PS : Apparemment je n’ai rien loupé: env 300 mètres en contrebas, les cailloux remplacent gentiment la neige suivis d’une longue marche avec skis sur le sac jusqu’au ravitaillement bière.
Au plaisir de toutes et tous vous revoir. Je remercie les CHEFFES de course Claire-Lise et Claude ainsi que la patience de mes compagnons.
Beretta Véronique.





Di 29 jan. 2023
Gr. Tramelan: Chasseral à ski + fondue
Le 29 janvier 2023
Rando facile et fondue au Chasseral
Participants : chef de groupe Etienne, Charles, André, Anouck, Stéphane, Anne, Julie, Ana, Claire-Lise, Fabio, Gladys, Pierre-André, Margrit, Jean-Claude, Marco, Véro, Yolande, Grégory, Maryline.
Par une belle matinée dominicale ensoleillée, équipés de nos peaux de phoque pour affronter la belle blanche, un petit groupe d’une vingtaine de bons humains se sont rejoint au parking de la métairie de La Cuisinière en dessus de Cormoret pour entamer une ballade magistrale vers le Chasseral.
Le paysage envoutant tout de blanc givré nous offrait un terrain de choix promettant une virée magique et apaisante.
Le cortège s’avançait en prime abord par la route du Pont des Anabaptistes pour arriver à la prairie de la Métairie du Milieu de Bienne. Malgré nos ventres affamés après quelques heures d’ascension, nous avons décidé de poursuivre l’excursion en vue de trouver de beaux pâturages enneigés pour sortir les caquelons. Ainsi, une petite demi-heure plus tard, nous avons déposé nos skis et nos bâtons au profit des fourchettes à fondue avant de se délecter d’un excellent mélange de fromage provenant de la fromagerie des Reussilles le tout arrosé par les caves de qualité des adhérents du CAS.
La pause nous octroyant les ressources nécessaires, nous avons poursuivi l’expédition jusqu’à la crête du Petit Chasseral d’où nous nous sommes élancés sur la neige vierge de toute trace. Nos skis glissaient sur cette poudreuse immaculée, cheveux au vent, conscients de ce privilège unique.
Après cette sublime excursion nous nous sommes retrouvés afin de partager un dernier moment convivial, profitant de la chaleur de la métairie de… réputée et confirmée pour leur bière blanche artisanale. Puis les aux-revoirs pour de nouvelles aventures.
Merci pour ces doux moments de partage et de vie, le tout dans une ambiance chaleureuse et agréable.
Julie et Ana








Sa 28 jan. 2023
Meniggrad
Sortie du CAS du 28.01.23 au Meniggrat dans le Diemtigtal, organisée par André Montavon. Participants : Christine Scheidegger, Chantal Cano, Véronique et Marco Beretta, Claire-Lise et Charly Donzé, Nadine Seckler. La belle équipe se retrouve au restoroute à Münsingen, cadre bucolique, à 7h45 pour un ptit caf et croissant avant le départ. Nous ne sommes pas seuls à partir pour une journée de ski. Après ce petit remontant, départ pour le parking de Meniggrund où nous n’hésitons pas à mettre des couches, l’air est frais. La montée se fait avec une belle bise qui nous fouette le visage et quelques flocons de neige, sensation très agréable d’être en vie et en harmonie avec la nature. La neige est bonne mais il n’y a pas de fond. Nous devrons être vigilants à la descente. Surprise à l’arrivée au somment du Meniggrat à 1949 mètres : non ce n’est pas la vue car le brouillard est aussi présent là-haut, ni la bise car elle nous a accompagnés toute la montée, mais un superbe apéro avec lard, saucisse, tête de Moine et rosé bien frais. La grande classe. Voilà une jolie façon de fêter une première course d’un chef de course. Merci André. Avis au prochain nouveau chef de course ! Du coup, la déception de n’avoir aucune vue sur nos montagnes chéries se dissipe, pas comme le brouillard malheureusement. Par contre, prendre des rondelles de saucisse avec des moufles, c’est un sport à part entière ! Bon, les doigts refroidis nous rappellent à l’ordre, il est temps de descendre. Comme constaté à la montée, la neige est bonne mais il y en a peu et il n’y a pas de fond. Les gros cailloux voire rochers nous surprennent parfois, laissant des souvenirs sur nos semelles de ski. Quelques arrêts buffets plus tard et pas loin des voitures, nous constatons qu’il est encore tôt. Décision est prise de remonter jusqu’à la lisière de la forêt, histoire de confirmer que la descente n’est pas si mauvaise que ça, quand on évite les cailloux. Ordre classique des choses, arrivés aux voitures, nous nous dépêchons de ranger nos affaires pour courir à la bière ! Belle journée, sans soleil dans le ciel mais bien présent dans nos cœurs. Merci André, c’est parti pour une belle carrière de chef de course ! Nadine





Je 26 jan. 2023
Cours avalanche
Cours Avalanche
Jeudi 26 janvier, Samedi 28 janvier et Dimanche 29 Janvier 2023.
Organisateur et chef de course : Patrice Liechti.
Jeudi soir :
A la cabane des Gorges de Moutier :
Théorie sur la neige et avalanches avec montage audio-visuel présenté par Patrice sur les différentes situations possibles en Montagne.
Une soirée ….avalancheuse d’informations précieuses!
Samedi :
Exercices pratique sur le terrain en deux groupes suivant notre modèle DVA;
Un groupe avec Patrice et un autre groupe avec Florent.
Et quel terrain !!! A la mythique Golatte au dessus de Reconvilier ; au pied du fameux téléski datant de 1955 et maintenant enregistré au patrimoine local ! Un des premiers téléskis de l’époque osant, de plus, implanter un virage sur son trajet. Aucun problème avec les usuels locaux de l’époque, très souples sur leur jambes, pour affronter sans trop risquer la chute à la montée.
Chaque responsable de groupe choisit un terrain approprié aux exercices au dessus de La Golatte.
Les exercices se suivent à la vitesse de la bise locale ;
- Exercice de recherche d’une victime d’avalanche .
- Exercice de recherche de plusieurs victimes d’avalanche.
Je suis dans le groupe de Florent.
Le froid stimulant le déroulement des exercices ; je dirais que nous sommes assez performants en minutes pour retrouver, avec nos DVA 3 antennes, chacun les pauvres Barivox d’un autre âge minutieusement cachés par Florent.
Vers midi, la faim se fait sentir ainsi que le froid givrant... Quel plaisir de voir Patrice arriver pour nous proposer une pause picnic méritée à la cabane de la section Pierre-Pertuis bien chauffée. Pause agrémentée d’une bonne soupe faîte maison !
L’après-midi nous introduit dans un exercice de recherche de victimes rapprochées ( groupe );
- Recherche en cercles à 3, puis 6, puis 9 mètres autour de la première victime retrouvée.
La journée de termine par quelques beaux virages en descente vers la Golatte.
Dimanche :
Randonnée à ski au Traumlücke dans le Diemtigtal.
Le soleil tant attendu est au rendez-vous, les sourires sur nos 12 visages aussi !
Patrice nous guide vers ce sommet introuvable sur toutes les cartes existantes !
Un expert de la région a eut la délicatesse de donner un joli nom à ce sommet sans identité : le Traumlücke…..«écart de rêve». Le Traumlücke est à côté du Rothore narguant le Raüflihorn .
Nous montons au rythme régulier de Patrice qui permet au groupe de rester bien homogène. Superbe panorama sur le Diemtigtal à notre arrivée. Quelques montgolfières du festival international de Chateau d’Oex passent sur nos têtes !
Il ne nous reste plus qu’à déguster la descente nous offrant encore une belle neige poudreuse !
«Un rêve sans écart» ! Avec maîtrise assurée par Patrice du risque d’avalanche pour chaque pente .
Un dernier verre partagé s’impose après cette belle journée.
Merci à Thiébaut, Manon, Lucas, Pierre, Edwige, Florent, Laurent, Patrice, Nicolas et Jean-Paul pour cette bonne ambiance de groupe et surtout ; Merci à Patrice attentif à chacun.
Sophie








Di 22 jan. 2023
Gr. Tramelan: Rando facile en raquettes
Petite balade en raquette
Comme chaque hiver, le groupe Tramelan organise une petite sortie avec ses membres et leurs proches. En ce mois de janvier, le club eut l’idée d’aller faire une petite virée en raquette dans notre parc préféré de la région. (Parc naturel régional Chasseral). Cette sortie amicale a débuté le dimanche 22 janvier 2023 sur le parking du CIP à Tramelan.
Une fois tous les participants arrivés, notre guide Daniel organise le déplacement, et c’est avec trois voitures que nous prenons la direction de Villeret, puis vers la Vieille Vacherie… malheureusement nous n’avons pas eu le temps de faire la traditionnelle pause-café-croissants. Après avoir garé les véhicules, et chaussé nos raquettes nous prenons la direction des Limes du Bas puis vers les Limes Derrière. Un épais brouillard et une bise glaciale nous accompagnent, mais nous restons positifs car les conditions d’enneigements sont bonnes et la nature est féerique avec ce gel. Puis nous descendons vers le Pré aux Auges, petite pause thé chaud, puis nous repartons vers le Petit Chasseral jusqu’à la métairie de Meuser et avec l’aide du GPS nous rejoignons la métairie de Morat ou là nous prenons notre casse-croute dans la brume et le froid. Dernière montée en direction du chalet du ski-club Villeret, puis longue descente avec quelques petits problèmes de réglage de raquettes nous retrouvons nos voitures. Au retour, nous nous arrêtons au tea-room chez Nico. Les boissons nous ont été gracieusement offertes par Laurence et Wilfred pour leur première sortie avec le groupe Tramelot.
Merci à tous les participants : André, Josiane, Brigitte, Jean-Claude, Yolande, Corinne, Anne, Oscar, Laurence, Wilfred, Maxime et bien sûr à Daniel pour cette belle balade .
Grégory Allimann





Sa 21 jan. 2023
3e volet initiation ski-rando Rengghorn
Le volet 3 d’initiation à la randonnée nous emmène à Jaun.
Chaque participant a été informé de son lieu de départ et de son chauffeur.
Rdv au restaurant Wasserfall vers 08h30 à Jaun.
Quel plaisir de se retrouver. Un café ou un chocolat chaud avant d’affronter la température extérieure à -12 degrés ce matin-là.
Les 3 groupes sont formés, nos guides sont Claude R, Charles D et André M.
Bonnet sur les oreilles, skis peautés, matériel contrôlé, nous nous lançons dans l’ascension du « Garten ».
Le paysage est splendide, une généreuse neige poudreuse recouvre la pente que nous empruntons.
C’est l’occasion de perfectionner notre apprentissage de conversions. Le soleil est au rdv. Nous avançons en alternant pâturages et passages en forêt. Ça et là, de magnifiques alpages. Peu avant midi, nous profitons d’une clairière abritée pour la pause de midi. Chacun avale son sandwich avec plaisir.
Avant de se remettre en route, chacun ajoute une couche supplémentaire, des moufles, un casque. Au sortir de la forêt le vent est fort et la sensation de froid intense.
Les randonneurs descendants que nous avons croisés nous ont avertis : là-haut, c’est la Sibérie.
Pourtant nous continuons direction le sommet. Au loin nous apercevons un alpage, on pourra s’y mettre à l’abri du vent. C’est là que le chemin s’est séparé. Un groupe ne souhaitant pas continuer a choisi d’entamer la descente en compagnie de Charles. D’autres plus courageux ont continué l’ascension avec Claude et André en bravant les éléments de la nature.
La descente pour chaque groupe a été agrémentée de quelques cabrioles dans la haute neige, heureusement plus spectaculaires que douloureuses.
Avant de rejoindre le village, nous avons exercé nos talents de chercheurs de victimes grâce à notre matériel DVA.
Un dernier verre partagé avant de reprendre la route du retour.
Remerciement tout particulier à nos guides, toujours à trouver une solution face à une situation inattendue. Comme une boucle de chaussure qui lâche au moment de la serrer pour la descente. Du scotch solide, des brides sont sortis du sac et le problème est résolu.
Un grand merci aussi à André qui a célébré son anniversaire avec nous et n’a pas hésité à charger son paquetage d’un apéro qu’il a généreusement partagé.
Ce fut une très belle journée.
Christine Scheidegger




Sa 21 jan. 2023
Pfad
Samedi 21 janvier : PFAD
Déjà un grand merci à Patrice Liechti pour l’organisation de cette belle course et une mention spéciale pour la commande réussie de neige poudreuse … le soleil ce sera pour la prochaine fois !
Nous nous retrouvons à 6h30 Tavannes ; une fois les participants et le matériel chargés dans les voitures, départ pour Zweisimmen où nous nous arrêtons pour la traditionnelle pause-café.
Le départ de la course se trouve à quelques kilomètres : Blankenburg. La température est plus que fraîche en ce samedi matin de janvier … - 16 degrés !
Nous nous équipons puis commençons notre ascension qui chemine tout d’abord le long d’un ruisseau puis sur un joli sentier en forêt et dans les pâturages. Nous passons à côté de la Fromathütte qui n’est malheureusement pas ouverte … un petit moment au chaud aurait fait du bien !! La visibilité diminue au fur et à mesure que nous approchons du but ; un petit vent et de légères chutes de neige décident de nous accompagner. Comme cet itinéraire n’est pas très couru, Patrice fait la trace qui nous emmène tout près du sommet que nous n’atteindrons finalement pas au vu des mauvaises conditions. D’un commun accord nous décidons d’entamer la descente. De gros cailloux nous obligent à être prudents. Les virages s’enchaînent avec quelques chutes sans gravité heureusement. Nous trouvons une porte ouverte dans un chalet d’alpage ce qui nous permet de pique-niquer au sec.
La suite de la descente se fait dans de belles pentes recouvertes d’une neige poudreuse à souhait … que du bonheur ! Merci Patrice d’avoir su les dénicher. Avant d’arriver jusqu’aux voitures sans déchausser, notre descente se poursuit sur des chemins plus ou moins larges et pentus. Une fois en bas, nous nous rendons au bistrot du coin pour nous réchauffer, nous désaltérer et partager encore quelques bons moments ensemble avant de prendre le chemin du retour.
Merci à Patrice et à tous les participants (Chantal, Claire-Lise, Fabio, Gladys, Isabelle, Laurent, un autre Laurent et Sylvie) pour cette belle journée en montagne !
Géraldine Mougenot




Sa 14 jan. 2023
Männliflue
Nous nous retrouvons l’équipe de 7 sur le parking de Fieldrich, la motivation est au rendez-vous, malgré le faible enneigement. Nous sommes un peu sceptiques sur l’itinéraire à choisir, aurons nous la chance de trouver de bonnes conditions là-haut ?
Sachant que la semaine avant tout était vert ! Nous attaquons la montée à travers les pâturages en zigzagant entres les nombreuses pierres.
Nous avons la chance d’apercevoir un grand nombre d’animaux, chamois, lagopède alpin et tétras-lyre.
Nous continuons notre montée pour arriver au passage délicat de cette sortie, la fameuse cuvette raide. Les choses se complique, la neige devient dure et gelée, il y a beaucoup de vent, certains d’entre nous enlèvent les skis et les mettent au dos, comme nous sommes un peu en retard sur l’horaire, Florent prend alors la décision de faire demi-tour nous étions à ce moment-là à 100m du sommet dommage. Ce n’est que partie remise !
Malgré le faible enneigement les conditions de descente était meilleur que-ce que nous pensions, de la bonne poudre sur une grande partie de cet itinéraire.
Ce fut une belle sortie où nous étions les seuls tout du long. C’est incroyable pour cet itinéraire tellement fréquenté ! Parfois cela vaut la peine de surmonter ces doutes !
Yanick Zuccoli
Sa 7 jan. 2023
2e volet initiation ski-rando Chasseral
Melchsee-Frutt, jamais entendu ce nom, pourtant j’ai toujours aimé la géographie. C’est donc dans ce lieu inconnu que nous nous rendons pour notre second volet du cours d’initiation à la randonnée.
Après un trajet en voiture d’un peu plus d’une heure et demie, nous voilà arrivés au cœur même de la Suisse, dans le canton d’Obwald. Une petite montée en télécabine, sérés comme des sardines et nous pouvons enfin profiter du paysage. Là, oh surprise, un paradis hivernal se dessine sous nos yeux, avec mille et une activités sportives, pêche sur glace, patin à glace, ski de fond, ski alpin, ski de randonnée et j’en oublie certainement.
Nous nous séparons en plusieurs groupes de 3-4 personnes plus le guide. S’ensuit une lente ascension à zigzaguer entre les pierres apparentes et les tâches d’herbe en exerçant nos conversions, pas toujours facile !
Un changement de programme est décidé peu avant la pause de midi pour nous rendre sur l’autre versant espérant y trouver plus d’or blanc. André choisit une petite montée qui exige de mettre les couteaux, très bon choix pour nous familiariser avec le matériel.
Le repas est pris en commun sous un beau soleil accompagné d’une vue splendide. « Claude, ce sont bien les installations de Meiringen que l’on voit là-haut ?», c’était la question à ne pas poser, le débat était lancé, sans entente trouvée.
Nous profitons de la pause pour effectuer quelques tests de recherches avec nos DVA, d’ouverture de la sonde et nous posons toutes les questions qui nous passent par la tête. Puis rebelotte, nous repartons cette fois-ci pour une longue ascension jusqu’à la crête. Il ne nous reste plus que la longue descente assez ardue jusqu’au parking.
Un grand merci à nos guides pour cette superbe journée.
Karin Rollier
Je 1 déc. 2022
Initiation rando ski (théorie)
1 er volet de cette soirée d’initiation théorique pour le ski de randonnée, se déroula au rest. de Jura à Sovililier. Une quinzaine de personnes de tout âge étaient présent, entre 20 et 70 ans, n’y a-t-il pas un dicton qui dit: C’EST JAMAIS TROP TARD POUR BIEN FAIRE !!!
Avec André Montavon, qui entame ça 1ère saison en tant que chef de course d’Hiver I, à qui nous lui souhaitons plein succès, nous nous relayons pour présenter images et théories, afin de donner une bonne image de randonnée en peaux de phoque. En éspérant que chacunes et chacuns trouverons tout le bonheur durant les prochains volets.
Claude R